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Discours sur la première décade de Tite-Live / / Niccolò Machiavelli
Discours sur la première décade de Tite-Live / / Niccolò Machiavelli
Autore Machiavelli Niccolò
Pubbl/distr/stampa Chicoutimi : , : J.-M. Tremblay, , 2010
Descrizione fisica 1 online resource
Disciplina 320.1
Collana Classiques des sciences sociales
Soggetto topico Political science
ISBN 1-4123-7213-5
Formato Materiale a stampa
Livello bibliografico Monografia
Lingua di pubblicazione fre
Nota di contenuto Livre premier -- Avant-propos -- Chapitre premier. Quels ont été les commencements des villes en général, et surtout ceux de Rome -- Ch. II. Des différentes formes de républiques. Quelles furent celles de la République romaine -- Ch. III. Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement Perfectionna la Constitution -- Ch. IV. Que la désunion du Sénat et du peuple a rendu la République romaine puissante et libre -- Ch. V. À qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple, et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver -- Ch. VI. S'il était possible d'établir à Rome un gouvernement qui fit cesser les inimitiés qui existaient entre le Sénat et le peuple -- Ch. VII. Combien d'accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir ta liberté -- Ch. VIII. Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse -- Ch. IX. Qu'il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier -- Ch. X. Qu'autant sont dignes d'éloges les fondateurs d'une république ou d'une monarchie, autant méritent de blâme les auteurs d'une tyrannie -- Ch. XI. De la religion des Romains -- Ch. XII. Qu'il est important de faire grand cas de la religion. Perte de l'Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime -- Ch. XIII. Comment les Romains se servaient de la religion pour établir des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions -- Ch. XIV. Que les Romains interprétaient les auspices suivant les besoins qu'ils en avaient ; qu'ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion dans les occasions mêmes où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu'ils punissaient quiconque avait la témérité de la mépriser -- Ch. XV. Comment les Samnites, dans une occasion désespérée, ont recours à la religion -- Ch. XVI. Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince conserve difficilement sa liberté si par hasard il devient libre -- Ch. XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberté -- Ch. XVIII. De quelle manière, dans un État corrompu, on pourrait conserver un gouvernement libre s'il y existait déjà, ou l'y introduire s'il n'y était pas auparavant -- Ch. XIX. Qu'un État qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible, mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince est faible comme lui -- Ch. XX. Qu'une succession de deux grands princes produit de grands effets ; et que, comme les républiques bien constituées ont nécessairement une succession d'hommes vertueux, elles doivent s'étendre et s'augmenter considérablement -- Ch. XXI. Combien méritent d'être blâmés le prince ou la république qui n'ont point d'unité nationale -- Ch. XXII. Ce qu'il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces -- Ch. XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces et que, pour cela, souvent il est dangereux de se borner à garder des passages -- Ch. XXIV. Les républiques bien constituées décernent des récompenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres -- Ch. XXV. Que si l'on veut changer la constitution d'un État libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions -- Ch. XXVI. Qu'un prince nouvellement établi dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler -- Ch. XXVII. Que tous les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais -- Ch. XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que ne le.fut le peuple d'Athènes envers les siens -- Ch. XXIX. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince -- Ch. XXX. Quels moyens doit employer un prince ou une république pour éviter le vice de l'ingratitude, et comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes -- Ch. XXXI. Que les généraux romains ne furent jamais punis rigoureusement pour des fautes commises ; ils ne le furent même pas quand leur ignorance et leurs mauvaises opérations avaient occasionné les plus grands dommages à la république -- Ch. XXXII. Qu'une république ou un prince ne doivent pas différer quand il s'agit de subvenir aux besoins de leurs sujets -- Ch. XXXIII. Quand un mal est parvenu au plus haut point dans un État, il est plus sage de temporiser que de heurter de front -- Ch. XXXIV. Que la dictature fit toujours du bien, et jamais de mal à la république romaine. C'est l'autorité dont les citoyens s'emparent qui nuit à la liberté, et non celle qui lui est conférée par les suffrages libres du peuple -- Ch. XXXV. Pourquoi, dans Rome, la création des décemvirs fut-elle nuisible à la liberté, quoiqu'ils eussent été nommés par les suffrages libres du peuple -- Ch. XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands emplois ne doivent pas dédaigner les moindres -- Ch. XXXVII. Des troubles causés à Rome par la loi agraire ; qu'il est très dangereux dans une république de faire une loi qui fasse revenir sur le passé et qui détruise une ancienne coutume de l'État -- Ch. XXXVIII. Les républiques faibles sont irrésolues et ne savent ni délibérer ni prendre un parti, Si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix -- Ch. XXXIX. Les mêmes accidents arrivent quelquefois chez des peuples bien différents -- Ch. XL. La création du décemvirat à Rome, et ce qu'il faut y remarquer ; où l'on considère entre autres choses comment le même accident peut sauver ou perdre une république -- Ch. XLI. Il est aussi imprudent qu'inutile de passer sans gradation et de sauter pour ainsi dire de la modestie à l'orgueil, de la douceur à la cruauté -- Ch. XLII. Combien les hommes peuvent aisément se corrompre -- Ch. XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont de bons et fidèles soldats -- Ch. XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire ; et l'on ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être emparé de l'autorité -- Ch. XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, surtout de la part de ceux qui 1'ont faite, et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renouveler chaque jour les reproches et les punitions de torts anciens -- Ch. XLVI. Les hommes s'élèvent d'une ambition à une autre. On songe d'abord à se défendre, ensuite à attaquer -- Ch. XLVII. Que les hommes, quoique sujets à se tromper sur le général, ne se trompent pas sur le particulier -- Ch. XLVIII. Qui veut empêcher qu'une magistrature soit déférée à un homme vil ou méchant doit la faire demander par un homme plus vil et plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l'État de plus illustre et de plus vertueux -- Ch. XLIX. Si les villes, libres dès l'origine, comme Rome, ont de la difficulté à trouver des lois qui les maintiennent en liberté, celles qui sont nées de la servitude éprouvent l'impossibilité d'y réussir -- Ch. L. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires dans un État -- Ch. LI. Qu'une république ou un prince doit feindre de faire par générosité ce à quoi la nécessité le contraint -- Ch. LII. Pour réprimer les excès et le danger d'un ambitieux en crédit dans une république, il n'est pas de plus sûr moyen ni qui fasse moins d'éclat que d'occuper avant lui le chemin qui conduit à celle élévation -- Ch. LIII. Qu'un peuple souvent désire sa ruine, trompé par une fausse apparence de biens, et qu'on le met facilement en mouvement par des espérances séduisantes et des promesses magnifiques -- Ch. LIV. Combien est puissante l'autorité d'un grand homme pour calmer une multitude échauffée -- Ch. LV. Combien il est aisé de faire marcher toutes choses dans une république où le peuple n'est pas encore corrompu ; où l'égalité règne, il ne peut y avoir de principat ; où l'égalité ne se trouve pas, il ne peut y avoir de république -- Ch. LVI.
Que les grands changements qui arrivent dans une ville ou un État sont toujours annoncés par des événements, ou prédits -- Ch. LVII. Que le peuple en masse est très courageux; séparé, il est très faible -- Ch. LVIII. Qu'un peuple est plus sage et plus constant qu'un prince -- Ch. LIX.
À qui d'un peuple ou d'un prince peut-on se fier davantage comme allié -- Ch. LX. Que le consulat et toute autre magistrature à Rome se donnaient sans égard à l'âge. -- Livre second -- Avant-propos -- Chapitre premier. Laquelle a le plus contribué à la grandeur de l'empire romain, de la vertu ou de la fortune? -- Ch. II. Quels furent les peuples que les Romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté -- Ch. III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens -- Ch. IV. Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir -- Ch. V. Que les changements de religion et de langue, et les accidents des déluges et des pestes effacent la mémoire des choses. -- Ch. VI. Comment les Romains faisaient la guerre -- Ch. VII. Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon ? -- Ch. VIII. Pour quelles raisons les peuples abandonnent-ils leur patrie pour se répandre dans des pays étrangers -- Ch. IX. Quels sont les sujets ordinaires de guerre entre les souverains -- Ch. X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l'opinion générale -- Ch. XI. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force -- Ch. XII. Lequel vaut mieux, lorsqu'on craint d'être attaqué, de porter la guerre chez son ennemi ou de l'attendre chez soi -- Ch. XIII. Pour s'élever d'un état médiocre à un rang élevé, la ruse sert plus que la force -- Ch. XIV. Que les hommes se trompent bien des fois en croyant qu'à force de soumission on désarme la hauteur -- Ch. XV. Que des États faibles sont toujours indécis, et la lenteur à se déterminer est toujours nuisible -- Ch. XVI. Combien les armées modernes diffèrent des anciennes -- Ch. XVII. Comment on doit apprécier l'artillerie dans nos armées modernes, et si l'opinion qu'on en a généralement est fondée en raison -- Ch. XVIII. Qu'il est prouvé par l'exemple des Romains qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie -- Ch. XIX. Que les acquisitions d'une république mal constituée, et qui ne prend pas pour modèle de conduite celle des Romains, la mènent plutôt à sa ruine qu'a un accroissement de puissance -- Ch. XX. À quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires -- Ch. XXI. Le premier préteur que les Romains envoyèrent hors de Rome fut pour Capoue, quatre cents ans après qu'ils avaient commencé à faire la guerre -- Ch. XXII. Combien sont erronés souvent les jugements que les hommes portent des grandes choses -- Ch. XXIII. Combien les Romains évitaient les partis mitoyens à l'égard de leurs sujets, quand ils croyaient avoir une décision à prendre -- Ch. XXIV. Les forteresses sont en général plus nuisibles qu'utiles -- Ch. XXV. Que c'est prendre un mauvais parti que de profiter de la désunion qui règne dans une ville pour l'attaquer et s'en rendre maître -- Ch. XXVI. Les témoignages de mépris et les injures n'attirent que de la haine, sans profit pour qui les emploie -- Ch. XXVII. Les princes et les républiques sages doivent se contenter de vaincre, car on perd parfois tout à vouloir trop gagner -- Ch. XXVIII. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers -- Ch. XXIX. La fortune aveugle l'esprit des hommes, quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins -- Ch. XXX. Les républiques et les princes vraiment puissants n'achètent pas des alliés à prix d'argent ; c'est par leur courage et la réputation de leurs forces qu'ils s'en attirent -- Ch. XXXI. Qu'il est dangereux de se fier à des exilés -- Ch. XXXII. De quelle manière les Romains attaquaient les villes -- Ch. XXXIII. Les Romains laissaient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations -- Livre troisième -- Chapitre premier. Veut-on qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe -- Ch. II. Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie ! -- Ch. III. Qu'il est nécessaire pour maintenir une liberté nouvellement acquise, comme Brutus, de massacrer ses enfants -- Ch. IV. Qu'un prince ne peut vivre en sûreté dans un État, tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés -- Ch. V. Qu'est-ce qui fait perdre le trône à un roi qui ne jouit par succession ? -- Ch. VI. Des conspirations -- Ch. VII. D'où vient que le passage de la liberté à la servitude, et de la servitude à la liberté, coûte quelquefois beaucoup de sang, et que quelquefois il n'en coûte pas du tout -- Ch. VIII. Quiconque veut opérer des changements dans une république doit examiner dans quel état elle se trouve -- Ch. IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours avoir des succès -- Ch. X. Qu'un général ne peut éviter une bataille lorsque l'ennemi veut la livrer à quelque prix que ce soit -- Ch. XI. Quiconque a beaucoup d'ennemis à combattre est sûr de les vaincre, quoiqu'il leur soit inférieur en force, s'il peut soutenir leur premier effort -- Ch. XII. Comment un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, et procurer à ceux de l'ennemi tous les moyens de s'en dispenser -- Ch. XIII. Qui doit inspirer plus de confiance, ou d'un bon général qui a une mauvaise armée, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais général -- Ch. XIV. Effet que produisent au milieu d'une bataille des stratagèmes nouveaux et des paroles imprévues -- Ch. XV. Il ne faut à une armée qu'un seul chef. Un plus grand nombre nuit -- Ch. XVI. Dans les temps difficiles on recherche le mérite, mais quand tout est paisible, la faveur est, non pour les hommes vertueux, mais pour ceux qui ont, ou des richesses, ou des parents puissants -- Ch. XVII. Un État, après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier un commandement ou toute autre commission importante -- Ch. XVIII. Le plus grand talent d'un habile général est de savoir deviner les desseins de l'ennemi -- Ch. XIX. Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de rigueur pour gouverner la multitude -- Ch. XX. Un trait d'humanité fit plus d'impression sur les Falisques que toute la puissance des Romains -- Ch. XXI. Pourquoi Annibal avec une conduite opposée à celle de Scipion eut en Italie les mêmes succès que ce général romain en Espagne -- Ch. XXII. Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus les couvrirent également de gloire -- Ch. XXIII. Causes du bannissement de Camille -- Ch. XXIV. La prolongation du commandement militaire fil perdre à Rome sa liberté -- Ch. XXV. Pauvreté de Cincinnatus et de plusieurs citoyens romains -- Ch. XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un État -- Ch. XXVII. Moyen de rétablir l'union dans une ville. Il est faux que la désunion soit nécessaire pour y conserver son autorité -- Ch. XXVIII. Que l'on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie -- Ch. XXIX. Les fautes des peuples viennent de celles des princes -- Ch. XXX. Qu'un citoyen qui veut être utile à sa république par quelque action particulière doit d'abord imposer silence à l'envie. Moyen de défendre une ville à l'approche d'un ennemi qui la menace -- Ch. XXXI. Les grands hommes et les républiques bien constituées conservent le même courage au sein de la prospérité et dans le revers -- Ch. XXXII. Moyens employés pour rendre la paix impossible -- Ch. XXXIII. Pour gagner une bataille, il faut que les troupes soient remplies de confiance, et en elles-mêmes, et en leur général -- Ch. XXXIV. Comment la réputation, la voix publique, l'opinion concilient d'abord à un citoyen la faveur populaire. Le peuple fait-il, pour les places, de meilleurs choix que les princes? -- Ch. XXXV. Danger de conseiller une entreprise, toujours proportionné à la grandeur de cette entreprise -- Ch. XXXVI. Pourquoi a-t-on regardé les anciens Gaulois, et regarde-t-on encore les Français, comme étant plus que des hommes au commencement d'un combat, et moins que des femmes vers la fin -- Ch. XXXVII.
De petits combats sont-ils nécessaires avant d'en venir à une action générale ? Si on veut les éviter, comment faut-il s'y prendre pour connaître un ennemi auquel on a affaire pour la première fois ? -- Ch. XXXVIII. Qualités nécessaires à un général pour obtenir la confiance de ses soldats -- Ch. XXXIX. Il faut qu'un général connaisse le pays où il fait la guerre -- Ch. XL. À la guerre, la ruse mérite des éloges -- Ch. XLI. Il faut défendre la patrie, soit avec ignominie, soit avec gloire ; tous moyens sont bons, pourvu qu'elle soit défendue -- Ch. XLII. Les promesses arrachées par la force ne doivent point être observées -- Ch. XLIII. Les habitants d'un même pays conservent toujours à peu près le même caractère -- Ch. XLIV. L'audace et la précipitation emportent souvent ce que l'on n'obtiendrait point par des moyens ordinaires -- Ch. XLV. Est-il plus avantageux de soutenir d'abord le choc de l'ennemi, et de l'attaquer ensuite vivement, que de commencer le combat avec impétuosité ? -- Ch. XLVI. Pourquoi le même caractère se conserve-t-il assez longtemps dans les familles d'une même cité -- Ch. XLVII. L'amour de la patrie doit faire oublier à un bon citoyen les inimitiés particulières -- Ch. XLVIII. Une faute trop marquée et trop grossière de la part de l'ennemi doit faire soupçonner un piège -- Ch. XLIX. Une république qui veut se conserver libre doit prendre chaque jour de nouvelles précautions. Services qui méritèrent à Q. Fabius le surnom de Maximus.
Record Nr. UNINA-9910132712403321
Machiavelli Niccolò  
Chicoutimi : , : J.-M. Tremblay, , 2010
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Der Fürst / / herausgegeben von Otfried Höffe
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Autore Machiavelli Niccolò
Pubbl/distr/stampa Berlin : , : Akademie Verlag, , [2012]
Descrizione fisica 1 online resource (223 pages)
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Soggetto topico Political ethics
Soggetto genere / forma Electronic books.
Classificazione CE 7215
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Lingua di pubblicazione ger
Nota di contenuto Front Matter -- 1 Einführung -- 2 Die Kunst der Staatserhaltung (Widmung und Kapitel 1-3) -- 3 Eroberer, Fürsten und Propheten (Kapitel 4-7) -- 4 Stärke, aber nicht nur Stärke (Kapitel 8-11) -- 5 Das eigene Heer und die virtù (Kap. 12-14) -- 6 Die Tugenden des Fürsten zwischen Sein und Schein (Kapitel 15-17) -- 7 Provisorische Amoral (Kapitel 18-19) -- 8 Der Umgang des Fürsten mit seinen Untertanen (Kapitel 20-23) -- 9 Il Principe, Kapitel 24-26 -- 10 Doch ein Republikaner? Ein Blick in die anderen politischen Schriften Machiavellis -- 11 Zu Machiavellis Wirkung -- Back Matter
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Machiavelli Niccolò  
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Nota di contenuto Front Matter -- 1 Einführung -- 2 Die Kunst der Staatserhaltung (Widmung und Kapitel 1-3) -- 3 Eroberer, Fürsten und Propheten (Kapitel 4-7) -- 4 Stärke, aber nicht nur Stärke (Kapitel 8-11) -- 5 Das eigene Heer und die virtù (Kap. 12-14) -- 6 Die Tugenden des Fürsten zwischen Sein und Schein (Kapitel 15-17) -- 7 Provisorische Amoral (Kapitel 18-19) -- 8 Der Umgang des Fürsten mit seinen Untertanen (Kapitel 20-23) -- 9 Il Principe, Kapitel 24-26 -- 10 Doch ein Republikaner? Ein Blick in die anderen politischen Schriften Machiavellis -- 11 Zu Machiavellis Wirkung -- Back Matter
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Machiavelli Niccolò  
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Nota di contenuto Front Matter -- 1 Einführung -- 2 Die Kunst der Staatserhaltung (Widmung und Kapitel 1-3) -- 3 Eroberer, Fürsten und Propheten (Kapitel 4-7) -- 4 Stärke, aber nicht nur Stärke (Kapitel 8-11) -- 5 Das eigene Heer und die virtù (Kap. 12-14) -- 6 Die Tugenden des Fürsten zwischen Sein und Schein (Kapitel 15-17) -- 7 Provisorische Amoral (Kapitel 18-19) -- 8 Der Umgang des Fürsten mit seinen Untertanen (Kapitel 20-23) -- 9 Il Principe, Kapitel 24-26 -- 10 Doch ein Republikaner? Ein Blick in die anderen politischen Schriften Machiavellis -- 11 Zu Machiavellis Wirkung -- Back Matter
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Machiavelli Niccolò  
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Autore Machiavelli Niccolò
Edizione [1st ed.]
Pubbl/distr/stampa Warszawa : , : Ktoczyta.pl, , 2020
Descrizione fisica 1 online resource (75 pages)
Altri autori (Persone) SozańskiAntoni
ISBN 83-8217-830-8
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Livello bibliografico Monografia
Lingua di pubblicazione pol
Nota di contenuto Intro -- Strona tytułowa -- Spis treści -- [Dedykacja] -- Rozdział 1 -- Rozdział 2 -- Rozdział 3 -- Rozdział 4 -- Rozdział 5 -- Rozdział 6 -- Rozdział 7 -- Rozdział 8 -- Rozdział 9 -- Rozdział 10 -- Rozdział 11 -- Rozdział 12 -- Rozdział 13 -- Rozdział 14 -- Rozdział 15 -- Rozdział 16 -- Rozdział 17 -- Rozdział 18 -- Rozdział 19 -- Rozdział 20 -- Rozdział 21 -- Rozdział 22 -- Rozdział 23 -- Rozdział 24 -- Rozdział 25 -- Rozdział 26 -- Metryczka.
Record Nr. UNINA-9910794320403321
Machiavelli Niccolò  
Warszawa : , : Ktoczyta.pl, , 2020
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The prince / / by Niccolò Machiavelli ; written by Nathalie Roland ; translated by Rebecca Neal
The prince / / by Niccolò Machiavelli ; written by Nathalie Roland ; translated by Rebecca Neal
Autore Machiavelli Niccolò
Pubbl/distr/stampa [Cork, Ireland] : , : BrightSummaries.com, , 2016
Descrizione fisica 1 online resource (20 pages)
Disciplina 320.1
Collana Book Analysis
Soggetto topico Political science
Political ethics
ISBN 2-8062-8097-4
Formato Materiale a stampa
Livello bibliografico Monografia
Lingua di pubblicazione eng
Record Nr. UNINA-9910151687003321
Machiavelli Niccolò  
[Cork, Ireland] : , : BrightSummaries.com, , 2016
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