LEADER 03650nam 2200349 450 001 9910724379003321 005 20230630133255.0 035 $a(CKB)5470000002601195 035 $a(NjHacI)995470000002601195 035 $a(EXLCZ)995470000002601195 100 $a20230630d2009 uy 0 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 12$aL'Autorite? de l'e?crit au Moyen A?ge (Orient-Occident) $eXXXIXe Congre?s de la SHMESP (Le Caire, 30 avril-5 mai 2008) /$fSocie?te? des Historiens Me?die?vistes de l'Enseignement Supe?rieur Public 210 1$aParis, France :$cE?ditions de la Sorbonne,$d2009. 215 $a1 online resource (403 pages) 330 $aLe XXXIXe congre?s de la Socie?te? des historiens me?die?vistes de l'Enseignement supe?rieur public s'est tenu, en avril-mai 2008, dans une capitale orientale, Le Caire, pour faire dialoguer ensemble orientalistes et « occidentalistes » et rappeler que la richesse culturelle de l'Orient et de l'Occident au Moyen A?ge vient non seulement des he?ritages communs, mais aussi du dialogue et des e?changes qui n'ont cesse? durant le mille?naire me?die?val. Ce volume, intitule? L'autorite? de l'e?crit au Moyen Age, traite tout a? la fois de la production de l'e?crit, de l'autorite? du document et de la constitution d'archives dans l'Occident me?die?val comme dans les mondes byzantin et musulman. Il envisage en premier lieu la place de l'e?crit dans les socie?te?s ou? la parole et le geste sont essentiels, conside?rant les groupes qui ont pour me?tier d'e?crire (re?dacteurs, clercs de chancellerie, cadis ...), e?tudiant leurs pratiques et la diffusion des techniques d'e?critures mises en ?uvre. L'usage de l'e?crit conduit a? la question de l'autorite? du document produit et de son efficacite? : l'e?crit et les gestes enregistre?s, les signes de validation, la qualite? des personnes qui le pre?sentent et celle des te?moins qui le souscrivent, les choix linguistiques multiples adopte?s par les re?dacteurs, les situations dans lesquelles le document a e?te? utilise?, me?me pour le falsifier. Dans le monde musulman par exemple, ou? la fiabilite? de te?moins inte?gres est supe?rieure a? celle d'un document e?crit, potentiellement falsifiable, on comprend que le statut du document e?crit, son aptitude a? faire preuve, soit moindre qu'en Occident ou? c'est une de ses premie?res fonctions. La constitution et la conservation d'archives sont au c?ur des enjeux de pouvoir : a? qui est confie?e la garde des documents et dans quels lieux ? Ici aussi Occident et Orient se distinguent par leurs pratiques : les rois de France pensaient que la constitution des registres d'actes royaux manifestait leur pouvoir alors que les souverains musulmans ne voyaient pas dans la conservation syste?matique de leurs archives, pourtant e?labore?es de fac?on sophistique?e, un signe e?minent de souverainete?. Ont enfin e?te? aborde?es les questions des conservations ale?atoires, des abandons, des destructions, des copies, des traductions et des faux, ouvrant ainsi de nouvelles pistes de recherche. 517 $aAutorité de l?écrit au Moyen Âge 606 $aArchival materials 606 $aAuthority$xHistory 615 0$aArchival materials. 615 0$aAuthority$xHistory. 676 $a027.001 801 0$bNjHacI 801 1$bNjHacl 906 $aBOOK 912 $a9910724379003321 996 $aL'Autorite? de l'e?crit au Moyen A?ge (Orient-Occident)$93394805 997 $aUNINA