LEADER 02478 am 2200481 n 450 001 9910566499503321 005 20210705 010 $a979-1-03-620456-2 024 7 $a10.4000/books.enseditions.35078 035 $a(CKB)4100000012874785 035 $a(FrMaCLE)OB-enseditions-35078 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85282 035 $a(PPN)263270556 035 $a(EXLCZ)994100000012874785 100 $a20220502j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aBalzac, suite et fin /$fFranc Schuerewegen 210 $aLyon $cENS Éditions$d2021 215 $a1 online resource (148 p.) 225 1 $aSignes 311 $a2-84788-053-4 330 $aCe livre raconte la crise d?identité d?un balzacien vieillissant. Il y est question entre autres de l?avenir des études balzaciennes et d?un type de lecture que l?auteur appelle apotropique (de apos, « loin de » et trope, « tour »). Entendons par là que le lecteur, surtout s?il est lecteur professionnel, doit faire attention à ne pas devenir l?esclave de son objet. La lecture est un acte de liberté. S?il cesse d?être libre, le lecteur étouffe. Balzac est mort d?avoir écrit La Comédie humaine ; son ?uvre l?a tellement obsédé qu?elle a aussi fini par le tuer. Essayons de ne pas devenir comme lui. L?apotropie peut nous protéger contre ce risque de surinvestissement et d?enfermement monomane. Bonheur du critique institutionnel après avoir jeté son froc aux orties : le monde est soudainement devenu plus ouvert ; il reste des choses à dire sur Balzac, précisément parce qu?on a eu envie d?en finir avec Balzac. L?apotropie est une stratégie délibérément paradoxale. 606 $aLiterature (General) 606 $aBalzac, Honoré de 606 $acritique et interprétation 606 $aroman de langue française 610 $aBalzac, Honoré de 610 $acritique et interprétation 610 $aroman de langue française 615 4$aLiterature (General) 615 4$aBalzac, Honoré de 615 4$acritique et interprétation 615 4$aroman de langue française 700 $aSchuerewegen$b Franc$0223633 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910566499503321 996 $aBalzac, suite et fin$92874879 997 $aUNINA