LEADER 04282oam 22004814a 450 001 9910524864603321 005 20240709225521.0 010 $a2-7605-4763-9 024 7 $a10.1515/9782760547636 035 $a(CKB)3830000000060300 035 $a(OCoLC)1019659713 035 $a(MdBmJHUP)muse66808 035 $a(PPN)228026237 035 $a(DE-B1597)673548 035 $a(DE-B1597)9782760547636 035 $a(EXLCZ)993830000000060300 100 $a20171013d2017 uy 0 101 0 $afre 135 $aur|||||||nn|n 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 00$aRepenser la légitimité de l'État africain à l'ère de la gouvernance partagée$fsous la direction de Mamoudou Gazibo et Charles Moumouni 210 1$aQuebec :$cPresses de l'Universite du Quebec,$d2017. 210 4$d©2017. 215 $a1 online resource (xv, 190 pages ) 225 0 $aLes societes africaines en mutation ;$v3 311 $a2-7605-4762-0 320 $aComprend des references bibliographiques. 327 $tFront Matter --$tAvant-Propos --$tTable des matières --$tListe des Sigles --$tLa légitimité de l?état africain --$tLa régulation et la souveraineté --$tLa construction de la nation sud-africaine --$tL?administration de la nature au nom de l?état --$tLa coproduction du droit --$tLe maintien de l?ordre et les services aux populations --$tLes crises africaines --$tLa coproduction des services publics de sécurité sur les axes routiers au bénin --$tLes collectivités locales dÉcentralisées à l?Épreuve de la reddition de comptes au bénin --$tLa gouvernance Économique et le dÉveloppement --$tLA GOUVERNANCE DU DÉVELOPPEMENT AU BÉNIN ET AU TOGO --$tL?évaluation de la gouvernance en afrique --$tL?état africain devant l?impÉratif de la gouvernance partagée --$tNotices Biographiques 330 $aLa viabilité et la légitimité de l?État africain n?ont cessé d?être étudiées depuis la vague des indépendances des années 1960. Forgé par un processus exogène, cet État n?est pas le produit d?une dynamique sui generis comparable à celle qui a produit des États-nations puissants et orientés vers leur société en Europe. Économiquement faible, il est dépendant de l?extérieur pour assurer ses fonctions de base. Au pouvoir souvent par la force et non à la suite d?élections libres, ses dirigeants n?ont pas bâti un système politico-administratif de type wébérien. Il n?est donc pas étonnant que l?État africain ait été fréquemment qualifié de «?failli?», de «?patrimonial?», de «?prédateur?», d?«?intégral?», bref, d?institution en rupture avec la société. Pourtant, il s?est solidement enraciné?; ses politiques sont proclamées, ses symboles sont réaffirmés et ses frontières, bien qu?héritées de la colonisation, ont résisté. Le présent ouvrage révèle toutefois que le contexte dans lequel l?État africain évolue a profondément changé, notamment depuis l?ouverture démocratique des années 1990. L?environnement institutionnel est désormais marqué par une prolifération d?acteurs nouveaux, disputant le monopole de l?action publique à un État déjà inséré dans un système externe de contraintes et de ressources. L?État n?a plus la maîtrise unilatérale de la production de politiques publiques qui sont devenues des domaines partagés, mais cette situation ne l?affaiblit pas nécessairement. Les contributions réunies ici abordent cette nouvelle donne en explorant d?une façon originale, sur les plans local, national et international, son effet sur la substance et la légitimité de l?État africain. 606 $aLegitimacy of governments$zAfrica 607 $aAfrica$xPolitics and government 615 0$aLegitimacy of governments 700 $aCalvès$b Anne-E.$4aut$4http://id.loc.gov/vocabulary/relators/aut$01331354 702 $aGazibo$b Mamoudou 702 $aMoumouni$b Charles$f1965- 801 0$bMdBmJHUP 801 1$bMdBmJHUP 906 $aBOOK 912 $a9910524864603321 996 $aRepenser la légitimité de l'État africain à l'ère de la gouvernance partagée$94172477 997 $aUNINA