LEADER 04615nam 2200565 450 001 9910520206403321 005 20160816100921.0 010 $a2-7288-0990-9 010 $a2-7288-3770-8 035 $a(CKB)3780000000050489 035 $a(WaSeSS)IndRDA00060642 035 $a(FRCAIRNINFO)FRCAIRNINFO-ULM_MUSSO_2009_01 035 $z(PPN)260398780 035 $a(FrMaCLE)OB-editionsulm-8905 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85139 035 $a(PPN)269878343 035 $a(EXLCZ)993780000000050489 100 $a20160816d2009 || | 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 03$aLe jeu d'e?checs comme repre?sentation $eunivers clos ou reflet du monde ? /$fsous la direction de Amandine Mussou et Sarah Troche 210 $aParis$cÉditions Rue d?Ulm$d2009 210 1$aParis :$cE?ditions Rue d'Ulm,$d2009. 215 $a1 online resource (134 pages) 225 0 $aActes de la recherche a? l'Ens 311 $a2-7288-3590-X 330 $aSous le titre Le Jeu d'échecs comme représentation : univers clos ou reflet du monde ?, une publication en ligne dans la collection « Actes de la recherche à l'ENS » vient saluer le travail accompli par une équipe de jeunes chercheurs sous la direction d'Amandine Mussou (2002) et Sarah Troche. Capables d'absorber le joueur au point de l'abstraire du monde dans lequel il évolue, les échecs reposent d'une part sur le spectacle captivant de figurines en mouvement, d'autre part sur une structure géométrique renvoyant à un nombre infini de combinaisons. Entre incarnation et abstraction, les échecs fascinent : la richesse de leurs représentations dans la littérature et les arts en est le témoin. La dimension spéculaire des échecs est souvent admise comme une évidence. Bien plus qu'un pur divertissement de la pensée, les échecs sont là pour désigner autre chose, un ailleurs, un au-delà qui reflèterait, fidèlement ou en le déformant, le monde réel. Cette puissance allégorique des échecs a été perçue dès leur implantation en Occident. Le Moyen Âge exploite en effet les possibilités du jeu en proposant plusieurs types d'interprétations symboliques, que l'on trouve notamment décrites au début du Livre des eschez amoureux moralisés, dans les premières années du XVe siècle : les pièces de l'échiquier peuvent reproduire la société civile, être à l'image de la stratégie militaire, représenter les combinaisons infinies du ciel et des planètes, ou servir d'allégorie aux batailles amoureuses. La lecture allégorique du jeu a perduré, il suffit de se rappeler la partie que le Chevalier Block joue contre la Mort dans Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman pour s'en convaincre. L'origine des échecs remonte au début de notre ère, en Inde, où le jeu s'appelait Tchaturanga, « le jeu des quatre rois ». Il passe ensuite en Perse et se transforme au cours de ses pérégrinations, s'adaptant aux nouvelles sociétés dans lesquelles il s'implante. Les échecs n'ont plus grand-chose à voir avec le jeu indien lorsqu'ils arrivent en Occident autour du Xe siècle.$bAvant-propos Introduction La cité idéale selon Jacques de Cessoles : les échecs, instrument d'une propagande royale Jeu d'échecs et totalitarisme : Orwell, Zweig, Séry Permanences échiquéennes ou le sens d'une métaphore trans-séculaire L'échiquier de La Vie mode d'emploi : Georges Perec et le « cavalier polygraphe » Marcel Duchamp et les échecs : « tous les joueurs d'échecs sont des artistes » Le motif de l'échiquier dans l'?uvre de Kandinsky : quelle abstraction ? Des figurines de chair et de sang (sur l'échiquier de la passion), d'après une mise en scène de Daniel Mesguich : La Seconde Surprise de l'amour de Marivaux La compétition d'échecs comme espace autonome : la sujétion de la vie ordinaire par le monde de la sociabilité ludique 606 $aChess 610 $apolitique 610 $aallégorie 610 $ahistoire 610 $astratégie 610 $aMoyen-âge 610 $aéchec 610 $ahistoire de la guerre 610 $aart de la guerre 610 $aorigine des échecs 615 0$aChess. 700 $aMussou$b Amandine$4edt$01356300 702 $aMussou$b Amandine 702 $aTroche$b Sarah 801 0$bWaSeSS 801 1$bWaSeSS 906 $aBOOK 912 $a9910520206403321 996 $aLe jeu d'e?checs comme repre?sentation$93360634 997 $aUNINA