LEADER 02340 am 2200457 n 450 001 9910496039403321 005 20200129 010 $a2-7574-2698-2 024 7 $a10.4000/books.septentrion.81778 035 $a(CKB)5590000000006655 035 $a(FrMaCLE)OB-septentrion-81778 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/87099 035 $a(PPN)251071014 035 $a(EXLCZ)995590000000006655 100 $a20201123j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aDéplier Ponge $eEntretien avec Gérard Farasse /$fJacques Derrida, Gérard Farasse 210 $aVilleneuve d'Ascq $cPresses universitaires du Septentrion$d2020 215 $a1 online resource (120 p.) 225 1 $aObjet 311 $a2-85939-920-8 330 $aPONGE, DERRIDA : voilà les interlocuteurs d?une rencontre exceptionnelle. Jacques Derrida n?a eu de cesse de montrer que la philosophie, comme la littérature, est au travail dans la langue. La littérature vient, depuis toujours, inquiéter la philosophie en l?invitant à quitter sa position de surplomb. Peut-être est-ce l?une des raisons de la fascination de cette dernière pour l??uvre de Ponge, de Bernard Groethuysen à Henri Maldiney, en passant par Jean-Paul Sartre et Jacques Derrida. Ce dernier lui a consacré un livre, Signéponge, dont cet entretien est en quelque sorte le post-scriptum. Jacques Derrida se retourne sur son commentaire, l?explicite et le prolonge. Des questions aussi diverses que celles de la signature, de l?idiome, de la chose, de la métaphore, de la mise en abyme ou encore de l?éthique y sont posées. En matière d?écriture, Ponge et Derrida nous l?ont appris, il n?y a pas de point final. 606 $aPhilosophers$zFrance$vInterviews 606 $aPhilosophes$zFrance$vEntretiens 610 $alittérature 610 $aentretien 610 $adiscussion 615 0$aPhilosophers 615 6$aPhilosophes 700 $aDerrida$b Jacques$0139765 701 $aFarasse$b Gérard$0387436 701 $aFarasse$b Gérard$0387436 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910496039403321 996 $aDe?plier Ponge$92871971 997 $aUNINA