LEADER 06144 am 2200505 n 450 001 9910496036203321 005 20200805 010 $a979-1-03-656153-5 024 7 $a10.4000/books.pup.15763 035 $a(CKB)5590000000429685 035 $a(FrMaCLE)OB-pup-15763 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86502 035 $a(PPN)252447166 035 $a(EXLCZ)995590000000429685 100 $a20201209j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aLe patronat marseillais et la deuxième industrialisation $e1880-1930 /$fXavier Daumalin 210 $aAix-en-Provence $cPresses universitaires de Provence$d2020 215 $a1 online resource (330 p.) 225 1 $aLe temps de l?histoire 311 $a2-85399-930-0 327 $tIntroduction ge?ne?rale --$tL'industrie marseillaise vers 1880 --$tLe socle industriel de longue dure?e --$tLe po?le agroalimentaire --$tLes industries chimiques --$tLa re?paration et la construction navales --$tLes mate?riaux de construction et le BTP --$tLes industries apparues au cours du XIXe sie?cle --$tLes activite?s lie?es a? la modernisation du socle industriel de longue dure?e --$tLes opportunite?s des anne?es 1860-1870 --$tUn recours massif a? la main-d'oeuvre e?trange?re --$tUn prole?tariat constamment renouvele? --$tLes emplois industriels de l'immigration italienne --$tLes rationalite?s e?conomiques de la pre?sence italienne --$tUn patronat industriel familial --$tUn me?lange d'he?ritiers et de nouveaux venus --$tLe maintien de l'entre-soi --$tUn patronat libe?ral? --$tUne approche diffe?rencie?e de la question sociale --$tL'e?branlement des positions industrielles (1883-1895) --$tIntroduction --$tMondialisation des marche?s, renouvellement des technologies industrielles et protectionnisme --$tLes reculs et les abandons de la me?tallurgie --$tLa victoire annonce?e de la soude belge --$tL'industrie des ole?agineux fragilise?e --$tLa re?sistance des industries agroalimentaires et de la construction navale --$tL'aggravation des tensions sociales --$tDes rapports sociaux plus conflictuels --$tEntre pre?fe?rence nationale et syndicalisation des ouvriers italiens --$tPremier succe?s des ouvriers franc?ais et italiens re?unis --$tCrispations et recompositions ide?ologiques --$tLe refus du syndicat --$tVers un "libe?ralisme raisonne?" --$tLa tentation du repli colonial : l'exemple du Dahomey --$tLes voies de la reconque?te (1896-1929) --$tLa diversification des sources de financement --$tUne bourgeoisie d'affaires toujours pre?sente --$tLe soutien des banques re?gionales --$tLe ro?le me?connu des agents de change --$tL'engagement industriel de la petite et moyenne bourgeoisie --$tL'innovation --$tUne meilleure formation --$tNouveaux produits, nouveaux biens --$tLa mai?trise de nouvelles sources d'e?nergie --$tL'organisation des sites industriels --$tL'organisation des marche?s --$tL'adaptation des pratiques sociales --$tL'intensification du recours a? la main-d'oeuvre immigre?e --$tLa diversification des recrutements --$tL'essor des pratiques paternalistes --$tQuel renouvellement? --$tEffacements et repositionnements du patronat dans les industries he?rite?es du XIXe sie?cle --$tLes espoirs de?c?us de la construction me?canique --$tRenouvellement e?nerge?tique et dilution du capitalisme familial --$tLe renforcement du socle industriel de longue dure?e --$tEssor et diversification des activite?s de re?paration --$tLa vitalite? de l'industrie chimique traditionnelle --$tL'e?largissement du champ d'action des industries agroalimentaires --$tEntre ancrage re?gional et ouverture au monde : les mate?riaux de construction et le BTP. 330 $aLe patronat marseillais des années 1880-1930 a mauvaise réputation. On lui reproche d?être resté replié sur?lui-même, individualiste, trop exclusivement marchand, et de ne pas avoir su évoluer vers un capitalisme de type managérial jugé plus efficace pour pouvoir répondre aux enjeux industriels de son époque. Cette culture de l?entre-soi, fondée sur un système relationnel puissant et des représentations hérités du milieu du XIXe?siècle, aurait contribué à pérenniser des modes de formation et de gestion peu performants, à limiter les capacités d?investissement ou d?innovation des entreprises et à retarder la concentration des sociétés, la rationalisation des méthodes de production et la standardisation des produits. Elle aurait en outre favorisé le repli des entreprises sur des marchés protégés - essentiellement coloniaux - et provoqué une certaine cécité à l?égard des évolutions économiques et sociales en cours. En d?autres termes, le patronat marseillais des années 1880-1930 aurait raté la deuxième industrialisation. Cette légende noire, forgée au cours de la récession qui a suivi les Trente Glorieuses, nécessite aujourd?hui d?être revue. L?ouverture de nouveaux fonds d?archives privées, le renouvellement et la diversification des approches au sein de l?histoire économique et sociale régionale et l?émergence d?un nouveau régime d?historicité, permettent de proposer une tout autre représentation de la deuxième industrialisation?marseillaise. 606 $aIndustries$zFrance$zMarseille$xHistory 606 $aIndustrial management$zFrance$zMarseille$xHistory 606 $aExecutives$zFrance$zMarseille$xHistory 607 $aMarseille (France)$xEconomic conditions 610 $aMarseille 610 $aindustrialisation 610 $apatronat 610 $apatronat marseillais 610 $ahistoire économique 615 0$aIndustries$xHistory. 615 0$aIndustrial management$xHistory. 615 0$aExecutives$xHistory. 700 $aDaumalin$b Xavier$01239422 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910496036203321 996 $aLe patronat marseillais et la deuxième industrialisation$93034086 997 $aUNINA