LEADER 02285 am 2200445 n 450 001 9910496015003321 005 20200129 010 $a2-7574-2738-5 024 7 $a10.4000/books.septentrion.82821 035 $a(CKB)5590000000006670 035 $a(FrMaCLE)OB-septentrion-82821 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/87069 035 $a(PPN)251072568 035 $a(EXLCZ)995590000000006670 100 $a20201123j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $2rdacontent 182 $2rdamedia 183 $2rdacarrier 200 10$aMesures de l?ombre $eBaudelaire, Flaubert, Laforgue et Verne /$fPhilippe Bonnefis 205 $aNouvelle e?dition identique a? celle de 1987. 210 $aVilleneuve d'Ascq $cPresses universitaires du Septentrion$d2020 215 $a203 pages ;$d24 cm 225 0 $aLettres et arts 225 0 $aObjet,$x0291-7335 ;$vno 79 311 $a2-7574-0366-4 320 $aIncludes bibliographical references. 330 $aLe soleil se couche sur l?histoire de la peinture. Triomphe de l?image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c?est un triomphe au sens où l?entendent les baroques, une pompe funèbre. Si une phénoménologie de la perception vient relayer après coup l?oeuvre de Flaubert, s?ouvrir à elle comme l?un de ses débouchés philosophiques, si l?oeuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postérité, c?est une fin en revanche que consacre la réflexion esthétique de Baudelaire. Le règne de l?image s?éteint doucement à l?occident de la littérature. L?image s?enténèbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naît tout juste où meurt le nom de Charles Baudelaire. L?air de la pourriture, avec ses charognes mélodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boîtes à musique... 606 $aFrench literature$y19th century$xHistory and criticism 610 $alittérature 610 $amesure 610 $aombre 615 0$aFrench literature$xHistory and criticism. 700 $aBonnefis$b Philippe$0326765 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910496015003321 996 $aMesures de l'ombre$9174582 997 $aUNINA