LEADER 02304 am 2200493 n 450 001 9910496008403321 005 20240221123720.0 010 $a979-1-02-401634-4 024 7 $a10.4000/books.purh.14505 035 $a(CKB)4100000012004059 035 $a(FrMaCLE)OB-purh-14505 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86835 035 $a(PPN)257366784 035 $a(EXLCZ)994100000012004059 100 $a20210826j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aLa muse au couteau $eLecture des Amours jaunes de Tristan Corbière /$fThierry Roger 210 $aMont-Saint-Aignan $cPresses universitaires de Rouen et du Havre$d2021 215 $a1 online resource (222 p.) 225 1 $aCours 311 $a979-1-02-401378-7 330 $aTiré de dix années d?oubli par Verlaine, rival posthume de Laforgue, salué par Tzara et Breton, Corbière n?est pas seulement le « poète maudit » ni « moderniste » qu?une certaine histoire littéraire a construit. Son ?uvre, traversée par une puissance de dérision féroce, propose un recommencement du lyrisme à partir d?une esthétique polyphonique qui mêle dissonance antiromantique et consonance primitiviste. Son « ironie lyrique » (Bakhtine) perpétuelle ne peut plus être une quête de soi, mais une quête du vrai qui se fera aussi recueil de voix. Où l?on découvrira un « Maître-philosophe cynique » qui nous apprend à mourir de rire, qui «joue du couteau » contre une certaine tradition, romantique, contre le présent, parnassien, mais aussi contre la domination grapho-centrique, et donc pour l?inscription du corps dans la langue : « Si ce n?est pas vrai - Que je crève ! » 410 0$aCollection "Cours" 606 $aPoetry 606 $alyrisme 606 $adérision 606 $apoésie 610 $alyrisme 610 $adérision 610 $apoésie 615 4$aPoetry 615 4$alyrisme 615 4$adérision 615 4$apoésie 700 $aRoger$b Thierry$01295370 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910496008403321 996 $aLa muse au couteau$93023411 997 $aUNINA