LEADER 02353 am 2200457 n 450 001 9910495984003321 005 20200129 010 $a2-7574-2615-X 024 7 $a10.4000/books.septentrion.84016 035 $a(CKB)5590000000006668 035 $a(FrMaCLE)OB-septentrion-84016 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86989 035 $a(PPN)251072630 035 $a(EXLCZ)995590000000006668 100 $a20201123j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes échafauds du romanesque /$fPatrick Wald Lasowski 210 $aVilleneuve d'Ascq $cPresses universitaires du Septentrion$d2020 215 $a1 online resource (112 p.) 225 1 $aObjet 311 $a2-85939-393-5 330 $aDe la guillotine on ne retient jamais que l?effet de rupture, l?effondrement d?un monde auquel la Terreur met un terme, définitivement. C?est oublier que la guillotine s?inscrit dans la mémoire, qu?elle découpe alors un nouvel espace de représentation auquel la peinture, la photographie, le cinématographe, musées de cires et salons de coiffure, se trouvent assujettis... Visages plus purs exaltés par la lunette, visions fugitives - « Un éclair... puis la nuit ! »- qui obéissent à la logique de l?instantané : le fil de la guillotine commande l?exposition romanesque du visage. L?échafaud fonde une scène nouvelle, suscite une constellation d?images et de textes. Singulière machine, -appareil funèbre, -vrai objet de désir. La littérature romanesque du xixe siècle se renouvelle, s?édifie, s?échafaude à partir de la guillotine, avec vue sur la Grève. 606 $aFrench literature$y19th century$xHistory and criticism 606 $aGuillotine in literature 607 $aFrance$xHistory$yRevolution, 1789-1799$xLiterature and the revolution 610 $aroman 610 $aéchafaud 610 $atension 615 0$aFrench literature$xHistory and criticism. 615 0$aGuillotine in literature. 676 $a840.9/007 700 $aWald Lasowski$b Patrick$0445875 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910495984003321 996 $aLes e?chafauds du romanesque$92861730 997 $aUNINA