LEADER 03588 am 2200541 n 450 001 9910495930103321 005 20201023 010 $a2-37928-081-9 024 7 $a10.4000/books.putc.8262 035 $a(CKB)5590000000430813 035 $a(FrMaCLE)OB-putc-8262 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86880 035 $a(PPN)267948794 035 $a(EXLCZ)995590000000430813 100 $a20210104j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aUne civile société. La République selon Guillaume de la Perrière (1499-1554) /$fGéraldine Cazals 210 $aToulouse $cPresses de l?Université Toulouse Capitole$d2020 215 $a1 online resource (428 p.) 225 1 $aÉtudes d?histoire du droit et des idées politiques 311 $a2-915699-66-6 330 $aAvec son Miroir Politicque, ?uvre à la publication posthume en dépit de quinze années de travaux (1539-1553), Guillaume de La Perrière, historiographe officiel de la ville de Toulouse et fort de cette expérience, a délivré aux capitouls un véritable manuel de gouvernement. Ce Miroir figure d?abord un nouveau genre de « miroir », un miroir élargi, qui n?est plus seulement un « miroir de prince », mais un miroir tendu aux « administrateurs politiques », auquel La Perrière adresse, de son propre chef, son ?uvre. Et ces administrateurs sont ceux de la république de Toulouse comme de la république de France. [...] La nouvelle part de l?héritage antique que l?on goûte à la Renaissance, est bien là : Platon, Aristote, les stoïciens ; la considération aussi pour la nature et la substance de la respublica, prétexte à programme politique. Ainsi, tout semble pousser, au rebours apparent d?une pensée « absolutiste », du côté d?un « relativisme constitutionnel », qui est davantage un sentiment de la contingence de toute organisation politique plutôt qu?un nouvel attachement pour le vieux « régime mixte ». La société politique est déjà avant toute chose la « réunion de plusieurs ménages », comme plus tard chez Bodin. L?enseignement du Miroir est là et peut-être et surtout ailleurs. L?obsession de La Perrière -dont témoigne son application de quinze ans- est de fonder avant tout la pratique du gouvernement d?une cité, et pas n?importe laquelle, Palladio Tholosa, Libéra Tholosa. L?une des démonstrations les plus éclatantes de la thèse de Géraldine Cazals est de désigner, par cet exemple, les lieux de politique, de culture et d?histoire que sont devenues ou qu?allaient devenir les grandes cités du xvie siècle. (Extrait de la préface de Patrick Arabeyre) 517 $aUne civile société. La République selon Guillaume de la Perrière 517 $aUne civile société. La République selon Guillaume de la Perrière 606 $aHistory 606 $aLaw 606 $apolitique 606 $aToulouse 606 $agouvernement 610 $apolitique 610 $aToulouse 610 $agouvernement 615 4$aHistory 615 4$aLaw 615 4$apolitique 615 4$aToulouse 615 4$agouvernement 700 $aCazals$b Géraldine$01291325 701 $aArabeyre$b Patrick$01280119 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910495930103321 996 $aUne civile société. La République selon Guillaume de la Perrière (1499-1554)$93021822 997 $aUNINA