LEADER 03739nam 2200601 450 001 9910495917803321 005 20150715165142.0 010 $a2-271-07849-0 024 7 $a10.4000/books.editionscnrs.3497 035 $a(CKB)4340000000012933 035 $a(WaSeSS)IndRDA00044744 035 $a(FrMaCLE)OB-editionscnrs-3497 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/84832 035 $a(PPN)26794277X 035 $a(EXLCZ)994340000000012933 100 $a20150715d2002 || | 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aLa France et la question de Syrie, 1914-1918 /$fVincent Cloarec ; pre?face de Henry Laurens 210 $aParis$cCNRS Éditions$d2002 210 1$aParis :$cCNRS E?ditions,$d2002. 215 $a1 online resource (243 pages) 225 1 $aCNRS Plus 311 $a2-271-05992-5 320 $aIncludes bibliographical references and indexes. 330 $aPendant longtemps, l'histoire n'a retenu de la Première Guerre mondiale en Orient que le rôle de son brillant agent Lawrence d'Arabie. Le succès mondial des Sept piliers de la Sagesse a fortement contribué à répandre la vision d'une nation arabe en quelque sorte créée par les Britanniques et à l'inverse repoussée avec virulence par les Français. S'appuyant sur des fonds d'archives français en grande partie inédits, Vincent Cloarec entreprend ici une relecture non seulement de l'action britannique mais également des rapports entre Français et Arabes au début du xxe siècle. Il montre que la France tient une place prépondérante en Orient jusqu'à la guerre, grâce à la mise en place par la IIIe République d'une véritable « civilisation levantine ». Il souligne la vigueur d'une politique partagée entre maintien des formes d'influence traditionnelles et volonté d'accompagner les changements identitaires en cours : la France est à l'origine des principales initiatives prises en Orient durant la guerre, notamment celle aboutissant à la révolte arabe de 1916 et, au milieu de la guerre, elle amorce une véritable politique arabe qui annonce la diplomatie gaullienne des années 1960. L'auteur analyse également les contradictions de son action, fondées essentiellement sur l'absence d'une vision claire de la Syrie et des Syriens, ainsi que sur la crainte de l'émergence d'une nation arabe. Ces incohérences aboutissent à la fin de la guerre - puis à travers les traités de 1919-1923 - à cette aberration que sont les mandats de Syrie et du Liban. Vincent Cloarec, dans la tradition des grands travaux de l'histoire des relations internationales, s'attache à démonter tous les ressorts d'une politique de puissance en redonnant pleinement sa place à l'un des axes majeurs des relations franco-arabes depuis un siècle : la politique culturelle. 410 0$aCNRS plus. 606 $aInternational relations$2bicssc 607 $aFrance$xForeign relations$zSyria 607 $aSyria$xForeign relations$zFrance 607 $aFrance$xForeign relations$y1914-1940 610 $aPremière Guerre mondiale 610 $aSyrie 610 $aDamas 610 $aConstantinople 610 $aAlep 610 $aBeyrouth 610 $aEntente cordiale 610 $anationalisme arabe 610 $aPalestine 610 $arévolte arabe 615 7$aInternational relations 700 $aCloarec$b Vincent$01233095 702 $aLaurens$b Henry$f1954- 801 0$bWaSeSS 801 1$bWaSeSS 906 $aBOOK 912 $a9910495917803321 996 $aLa France et la question de Syrie, 1914-1918$92863234 997 $aUNINA