LEADER 03877nam 22006733 450 001 9910495724603321 005 20220421084607.0 010 $a2-8218-9496-1 010 $a2-7606-2747-0 024 7 $a10.4000/books.pum.2206 035 $a(CKB)3710000001391596 035 $a(MiAaPQ)EBC6954570 035 $a(Au-PeEL)EBL6954570 035 $a(FrMaCLE)OB-pum-2206 035 $a(PPN)221484272 035 $a(DE-B1597)670660 035 $a(DE-B1597)9782760627475 035 $a(EXLCZ)993710000001391596 100 $a20220421d2011 uy 0 101 0 $afre 135 $aurcnu|||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aLeibniz et l'individualité Organique 210 1$aQuébec :$cLes Presses De l'Universite De Montreal,$d2011. 210 4$d©2011. 215 $a1 online resource (384 pages) 311 $a2-7606-2268-1 327 $tFront Matter -- $tRemerciements -- $tNote Bibliographique -- $tIntroduction -- $tSubstance individuelle, substance corporelle et corps organique dans les années du Discours de Métaphysique -- $tDe la substance individuelle à l'organisme -- $tMonades, corps organiques, individus -- $tConclusion -- $tBibliographie -- $tIndex Onomastique -- $tTable Des Matières 330 $aLe statut des corps dans la métaphysique de Leibniz continue de résister à tout effort de reconstitution. Qu'il n'y ait au monde que les substances simples et leurs modifications ne présente plus l'évidence d'une position philosophique achevée. Dans le meilleur des mondes possibles, les âmes ne sont jamais sans corps et la moindre portion de matière renferme un univers de créatures vivantes. Au moment même où Leibniz semble embrasser une position « idéaliste » en peuplant le monde d'une infinité d'entités psychiques, ne développe-t-il pas le concept d'organisme comme en marge de cette métaphysique ? Déjà, dans les années où la célèbre théorie de la notion complète servait à penser la substance individuelle, la réalité du corps organique imposait l'idée d'une substantialité proprement corporelle. Composition infinie irréductible aux modalités de l'étendue, le corps organique, machine de la nature, force à repenser les conditions d'existence de l'individualité vivante, dont l'ego cartésien n'est plus qu'un problématique modèle. La question n'est plus tant de savoir si Leibniz a admis l'existence de substances corporelles en sus des monades, que de comprendre en quoi la réalité organique devient un modèle pour penser la connexion de toutes les substances, des simples aux composées, des brutes aux raisonnables. Du « moi » à la monade, comment la nécessaire inscription corporelle de l'individualité s'opère-t-elle ? De quelles modifications du concept de substance cette exigence s'accompagne-t-elle ? 606 $aHuman body (Philosophy) 606 $aHuman body (Philosophy) 606 $aIndividuation (Philosophy) 606 $aIndividuation (Philosophy) 606 $aSelf (Philosophy) 606 $aSelf (Philosophy) 606 $aSubstance (Philosophy) 606 $aSubstance (Philosophy) 606 $aPHILOSOPHY / General$2bisacsh 615 0$aHuman body (Philosophy) 615 0$aHuman body (Philosophy). 615 0$aIndividuation (Philosophy) 615 0$aIndividuation (Philosophy). 615 0$aSelf (Philosophy) 615 0$aSelf (Philosophy). 615 0$aSubstance (Philosophy) 615 0$aSubstance (Philosophy). 615 7$aPHILOSOPHY / General. 676 $a193 686 $aCF 5517$qBVB$2rvk 700 $aRoland$b Jeanne$01221821 801 0$bMiAaPQ 801 1$bMiAaPQ 801 2$bMiAaPQ 906 $aBOOK 912 $a9910495724603321 996 $aLeibniz et l'individualité Organique$92833199 997 $aUNINA