LEADER 03385 am 2200505 n 450 001 9910418053703321 005 20191008 010 $a979-1-03-654017-2 024 7 $a10.4000/books.cemca.6195 035 $a(CKB)4100000010014032 035 $a(FrMaCLE)OB-cemca-6195 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/46399 035 $a(PPN)241685087 035 $a(EXLCZ)994100000010014032 100 $a20191219j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes enfants de la mort /$fAnne Chapman 210 $aMexico $cCentro de estudios mexicanos y centroamericanos$d2019 215 $a1 online resource (561 p.) 330 $aEmules en cela des Lacandons du Chiapas, les Indiens Jicaques du Honduras ont lutte? pendant plus de trois sie?cles contre les colons espagnols qui voulaient les asservir et contre les missionnaires qui s?efforc?aient de les convertir. Quand la re?sistance de ce peuple s?effondra, au milieu du xixe sie?cle, une poigne?e d?irre?ductibles se re?fugia dans les fore?ts, alors de?sertes, de la Montan?a de la Flor, pour continuer a? y mener la vie libre a? laquelle ils e?taient attache?s. Leurs descendants sont maintenant plus de quatre cents, malgre? les fa?cheux effets de la consanguinite? qui multiplie parmi eux le nombre des sourds-muets. Ils ont obtenu la concession officielle de leurs terres, dont ils interdisent, en principe, l?acce?s aux e?trangers. Avec leurs sarbacanes, leurs longues chevelures, leurs jambes nues et leurs tuniques de couleur fonce?e, ils apparaissent comme des reliques du passe? pre?colombien. Mais ils sont maintenant presse?s de tous co?te?s par des voisins blancs ou me?tis de plus en plus nombreux. Pendant plusieurs se?jours au Honduras, Anne Chapman, vivant en limite de la re?serve jicaque, sut gagner la confiance, puis l?amitie? d?Alfonso Marti?nez, le meilleur de?tenteur des anciennes traditions orales d?un peuple de?ja? en voie d?acculturation. Ce narrateur e?tonnamment doue?, put ainsi, avant de mourir, nous transmettre un remarquable ensemble de textes dicte?s dans un espagnol populaire tre?s colore?. Ces textes sont publie?s ici avec leur traduction franc?aise, des notes et des commentaires. On y trouve aussi tout un ensemble de croyances concernant la mort el l?au-dela?, car les Jicaques se conside?rent comme les enfants de la mort, par opposition a? leurs divinite?s, qui sont cense?es e?tre immortelles. Des souvenirs personnels du narrateur, e?voque?s de-ci de-la?, ache?- vent de faire de ce recueil un document humain pre?cieux, vivant et souvent e?mouvant. 606 $aLiterature 606 $apeuple indigène 606 $aHonduras 606 $atradition orale 606 $aconte 610 $aconte 610 $aHonduras 610 $apeuple indigène 610 $atradition orale 615 4$aLiterature 615 4$apeuple indigène 615 4$aHonduras 615 4$atradition orale 615 4$aconte 700 $aChapman$b Anne$0245540 701 $aChapman$b Anne M$01317515 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910418053703321 996 $aLes enfants de la mort$93032990 997 $aUNINA