LEADER 03396 am 2200517 n 450 001 9910418052103321 005 20200106 010 $a2-7574-2739-3 024 7 $a10.4000/books.septentrion.64530 035 $a(CKB)4100000010105952 035 $a(FrMaCLE)OB-septentrion-64530 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/40905 035 $a(PPN)242886744 035 $a(EXLCZ)994100000010105952 100 $a20200116j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $2rdacontent 182 $2rdamedia 183 $2rdacarrier 200 14$aLes années d?apprentissage philosophique $eÉtudes fichtéennes (1795-96) /$fNovalis 210 $aVilleneuve d'Ascq $cPresses universitaires du Septentrion$d2020 210 1$aVilleneuve d'Ascq, France :$cPresses Universitaires du Septentrion,$d2012. 215 $a246 pages ;$d20 cm 225 0 $aOpuscules [phi],$x0296-2454 ;$v26 300 $a"Ouvrage publie? avec le soutien de la Commission du Prix Coppieters de Gibson." 311 $a2-7574-0387-7 320 $aIncludes bibliographical references. 330 $aL?importance de Friedrich von Hardenberg alias « Novalis » (1772-1801) dans l?histoire de la littérature allemande et européenne est bien connue. En revanche, on ignore encore trop souvent que le poète romantique fût également philosophe. Lecteur passionné et subversif des grands penseurs de son temps (Kant, Fichte, Schelling, Reinhold, Jacobi, Schiller), Novalis se livre dans les Études fichtéennes (jamais parues de son vivant) à une interrogation de fond sur la philosophie transcendantale élaborée par ses maîtres, et en particulier par Kant et Fichte. D?une extraordinaire puissance spéculative, d?une précocité inouïe (l?auteur est un jeune homme de vingt-trois ans), Novalis fait se succéder à une vitesse vertigineuse, dans ces carnets totalisant 667 fragments, autant d?intuitions fulgurantes, de mécompréhensions et de transformations conceptuelles délibérées qui restent toutes à interpréter. La question essentielle de ces pages se présente rapidement comme celle de la manifestation. C?est plus précisément le thème de l?imagination, et par suite de l?image ou de l?apparence de l?être, c?est-à-dire de la perspective, qui se déplie nerveusement dans les fragments. Étroitement relié au problème du langage comme acte créateur, il apparaît dans le désordre, voire comme désordre. Car les méditations de Novalis ne suivent volontairement aucun protocole : pensées en acte à l?état pur, elles ne se soucient que de leur propre devenir, et tandis qu?elles affrontent jusqu?au non-sens, c?est à dessein qu?elles ne s?achèvent pas et qu?elles remettent en cause nos cadres de pensée hérités. 517 $aannées d?apprentissage philosophique 606 $aPhilosophy 606 $aapprentissage 606 $aphilosophie 610 $aphilosophie 610 $aapprentissage 615 4$aPhilosophy 615 4$aapprentissage 615 4$aphilosophie 700 $aNovalis$0164030 701 $aDumont$b Augustin$01241093 701 $aDumont$b Augustin$01241093 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910418052103321 996 $aLes années d?apprentissage philosophique$93036209 997 $aUNINA