LEADER 03386 am 2200445 n 450 001 9910418042903321 005 20200109 010 $a2-7574-2591-9 024 7 $a10.4000/books.septentrion.69369 035 $a(CKB)4100000011273881 035 $a(FrMaCLE)OB-septentrion-69369 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/60981 035 $a(PPN)248497383 035 $a(EXLCZ)994100000011273881 100 $a20200604j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aTombeau de Léonard De Vinci $eLe peintre et ses tableaux dans l?écriture symboliste et décadente /$fJean-Pierre Guillerm 210 $aVilleneuve d'Ascq $cPresses universitaires du Septentrion$d2020 215 $a1 online resource (248 p.) 311 $a2-85939-175-4 330 $aLes valeurs les plus consacrées ont leur histoire. Ce « Tombeau de Léonard de Vinci » rassemble et analyse les textes qui à l?époque des Décadents et des Symbolistes ont contribué à faire de Léonard et de la Joconde les modèles de référence de la culture picturale occidentale. À un moment où les sciences et les techniques occupent une place dans la civilisation moderne qui interroge nécessairement la capacité des pratiques culturelles traditionnelles, Léonard de Vinci, esprit universel et peintre, apparaît comme une figure mythique de conciliation des antagonismes. À un moment où la peinture « moderne » et la photographie mettent en crise la fonction « réaliste » du tableau, la Joconde, un portrait, devient le plus beau tableau du monde. Deux absolus d?autant plus mythiques que le réel est plus irrépressiblement éclaté et la prétention interprétative totalisante des élites plus désespérément vaine. Le culte que le xixe siècle inaugure, apparaît ainsi comme la plus haute dénégation de l?impuissance de la culture telle que nous la vivons encore. Le propos n?est pas technique, il ne vise pas la « vérité », par quelque voie qu?on prétende la constituer, de Léonard et de son ?uvre. Il ne s?agit que de décrire un processus complexe d?élaboration des représentations culturelles françaises en matière de peinture. Cela implique que les textes occupent le devant de la scène et que la critique d?art soit prise pour ce qu?elle est : l?organisation d?une croyance et un exercice d?écriture. La critique communique donc davantage avec la littérature qu?avec la connaissance, d?où la coexistence ici de textes qui appartiennent aussi bien à l?essai qu?au roman et qui sont produits par Taine, Michelet, Barrés, Valéry, Laforgue, Péladan... mais aussi, le vincisme français convoquant l?Europe, par Walter Pater, D?Annunzio ou Merejkovsky. 606 $aLiterature, Modern$y19th century$xHistory and criticism 606 $aPainting in literature 610 $atombeau 610 $apeinture 610 $asymbolisme 610 $ainvention 615 0$aLiterature, Modern$xHistory and criticism. 615 0$aPainting in literature. 676 $a809/.93357 700 $aGuillerm$b Jean-Pierre$0214338 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910418042903321 996 $aTombeau de Le?onard de Vinci$92859084 997 $aUNINA