LEADER 02461 am 2200541 n 450 001 9910418041003321 005 20200127 010 $a2-37924-108-2 024 7 $a10.4000/books.puv.6011 035 $a(CKB)4100000011301781 035 $a(FrMaCLE)OB-puv-6011 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/47732 035 $a(PPN)248498282 035 $a(EXLCZ)994100000011301781 100 $a20200616j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aFlaubert. Voix de masque /$fJuliette Frølich 210 $aSaint-Denis $cPresses universitaires de Vincennes$d2020 215 $a1 online resource (144 p.) 311 $a2-84292-163-1 330 $aFlaubert met à l?épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silence et l?éclat des choses. Et chaque ?uvre, Madame Bovary, Salammbô, L?Éducation sentimentale, module intensément cette présence qui « raconte ». La « Voix » narrative parle : dans le rythme de la prose, dans la typographie, jusque dans les blancs. C?est à l?écoute de cette Voix que s?attache la lecture intime, attentive, que propose Juliette Frølich, pour rendre intelligible l?émotion profonde qui passe dans « l?impassibilité » revendiquée, et la protestation mate qui couve sous la parole de masque du narrateur. Voile et voix, du cri à la « voix blanche » : écouter la prose de Flaubert, c?est accueillir ce qui se plie dans l?écriture, c?est voir dans la typographie elle-même, rythmes, espaces, effets de résolution, « grands blancs barbares », le passage de la Voix qui conte... jusqu?à sa résorption, avec Trois Contes, dans la béance et le silence. 606 $aLiterature, Romance 606 $aécriture 606 $alittérature 606 $avoix 606 $amanuscrit 606 $aprose 610 $aprose 610 $aécriture 610 $alittérature 610 $avoix 610 $amanuscrit 615 4$aLiterature, Romance 615 4$aécriture 615 4$alittérature 615 4$avoix 615 4$amanuscrit 615 4$aprose 700 $aFrølich$b Juliette$01302909 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910418041003321 996 $aFlaubert. Voix de masque$93026710 997 $aUNINA