LEADER 03726 am 2200565 n 450 001 9910357817703321 005 20190612 010 $a2-7535-6647-X 024 7 $a10.4000/books.pur.120822 035 $a(CKB)4100000009940645 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-120822 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/51315 035 $a(PPN)241684943 035 $a(EXLCZ)994100000009940645 100 $a20191202j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aDe la religion de tous à la religion de chacun $eCroire et pratiquer à Orléans au XVIIIe siècle /$fGaël Rideau 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2019 215 $a1 online resource (394 p.) 311 $a2-7535-0775-9 330 $aLa vie religieuse d?Orléans au XVIIIe siècle est habituellement résumée autour de deux éléments majeurs : le jansénisme et la déchristianisation, ou du moins l?éloignement de la religion. Les figures épiscopales de L.-G. Fleuriau, pour le premier, et de L.-S. de Jarente, pour la seconde, incarnent cette réalité. Pourtant, au travers de la présentation de la vie paroissiale et de sa gestion quotidienne (comptes, délibérations, rapport avec le curé, aménagement de l?église), des fêtes, des processions, des confréries, des testaments, du jansénisme, de la vie des dévots, de la présence d?objets, d?images et de livres pieux dans les maisons et de leur localisation dans les intérieurs, la réalité religieuse s?avère beaucoup plus complexe. Non seulement l?importance du jansénisme est à nuancer, du moins à préciser, mais la déchristianisation n?est pas de mise. De nombreux Orléanais vivent à l?écart des querelles jansénistes. La religion de la croix et de la sensibilité, pourtant présentée comme l?opposé du jansénisme, se diffuse autour des jésuites. De ce point de vue, en poussant la porte des églises d?Orléans au XVIIIe siècle, des confréries et des maisons, en suivant les missions et les processions, ce livre offre une image plus équilibrée et concrète de la vie religieuse locale. Le jansénisme s?avère alors important surtout par les discussions qu?il motive, les querelles, qui poussent les fidèles à prendre position. Il en est de même pour la déchristianisation. Loin de reculer, la nature de la religion change. Les paroissiens donnent moins d?argent aux quêtes, mais investissent davantage dans les bancs à l?église. Certaines confréries voient leurs effectifs diminuer, mais leur dévotion est plus spiritualisée et, au final, leur vitalité est maintenue. Surtout, le testament et l?inventaire après décès résument ces évolutions. La place de la religion diminue dans le premier, sans disparaître, mais obéit de plus en plus à une volonté personnelle. De même, l?inventaire? 606 $aReligion 606 $apiété 606 $acroyance 606 $ajansénisme 606 $adévotion 606 $arites funéraires 610 $acroyance 610 $apiété 610 $arites funéraires 610 $adévotion 610 $ajansénisme 615 4$aReligion 615 4$apiété 615 4$acroyance 615 4$ajansénisme 615 4$adévotion 615 4$arites funéraires 700 $aRideau$b Gaël$01298809 701 $aCabantous$b Alain$0251019 701 $aCottret$b Monique$01306298 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910357817703321 996 $aDe la religion de tous à la religion de chacun$93036202 997 $aUNINA