LEADER 04192 am 2200745 n 450 001 9910353336903321 005 20100309 010 $a2-919448-22-6 024 7 $a10.4000/books.esb.154 035 $a(CKB)4100000009914042 035 $a(FrMaCLE)OB-esb-154 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/43362 035 $a(PPN)241290341 035 $a(EXLCZ)994100000009914042 100 $a20100309j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes clercs au palais $eChancellerie et écriture du pouvoir royal (Castille, 1157-1230) /$fAmaia Arizaleta 210 $aParis $ce-Spania Books$d2010 215 $a1 online resource (368 p.) 330 $aL?auteur voit dans l?écriture que pratiquent les clercs de la chancellerie royale castillane au tournant des XIIe et XIIIe siècles l?origine des premières expressions, en Castille, d?une littérature tournée vers la fiction. Son étude de l?écriture de chancellerie est proprement éblouissante : naissance et développement du phénomène, puis, tout le paysage, jusqu?ici presque inconnu, des groupes, de leurs chefs, des écoles, des rivalités, des grandes évolutions. Quelques personnalités remarquables sortent définitivement de l?ombre : Juan de Osma, récemment éclairé, en outre, par un colloque du SIREM en Sorbonne, l?étrange Mica, où Amaia Arizaleta est tentée d?entrevoir le premier transfuge ouvrant la route qui mène de la charte à l?écrit littéraire. Car tel est bien le c?ur de la question, décisive et donc un peu effrayante, qu?elle aborde : le passage insensible de la belle charte à une écriture narrative qui entre en connivence avec la tradition des fictions exemplaires. L?objet de l?ouvrage se trouve donc dans l?entre-deux de la charte et de la littérature. Mais ce que propose l?auteur, le produit de son travail, est lui-même un entre-deux de la science et de la littérature. Il y a quelque chose de littéraire en essence, quelque chose de romanesque, dans une approche, très savante néanmoins, et rigoureusement scientifique, du passé, servie par l?éclat d?une belle écriture. La autora ve en la escritura que practican los clérigos de la cancillería real castellana en los años finales del siglo XII y principios del XIII, el origen de las primeras muestras, en Castilla, de una literatura que se inclina hacia la ficción. Su estudio de la escritura de la cancillería es desde luego extraordinario : el nacimiento y desarrollo del fenómeno, y luego el retrato completo de una situación hasta ahora prácticamente desconocida de los grupos, los jefes, las escuelas, de las rivalidades existentes y de los grandes logros que alcanzaron quienes se movían y trabajaban en la? 517 $aclercs au palais 606 $aArts & Humanities 606 $aLiterature, Romance 606 $aAlphonse VIII 606 $achancellerie royale castillane 606 $aEspagne 606 $aFerdinand III 606 $aJean d'Osma 606 $alittérature 606 $amétier de clergie 606 $aMoyen Âge 606 $aEdad Media 606 $aliteratura 606 $acancillería real castellana 606 $amester de clerecía 606 $aAlfonso VIII 606 $aJuan de Osma 606 $aFernando III 615 4$aArts & Humanities 615 4$aLiterature, Romance 615 4$aAlphonse VIII 615 4$achancellerie royale castillane 615 4$aEspagne 615 4$aFerdinand III 615 4$aJean d'Osma 615 4$alittérature 615 4$amétier de clergie 615 4$aMoyen Âge 615 4$aEdad Media 615 4$aliteratura 615 4$acancillería real castellana 615 4$amester de clerecía 615 4$aAlfonso VIII 615 4$aJuan de Osma 615 4$aFernando III 700 $aArizaleta$b Amaia$0289523 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910353336903321 996 $aLes clercs au palais$93027158 997 $aUNINA