LEADER 03568 am 2200493 n 450 001 9910342953203321 005 20190612 010 $a2-7535-6653-4 024 7 $a10.4000/books.pur.120960 035 $a(CKB)4100000009609500 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-120960 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/60704 035 $a(PPN)267959397 035 $a(EXLCZ)994100000009609500 100 $a20191024j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aTerres urbaines $ePlaces, jardins et terres incultes dans la ville au Moyen Âge /$fJean-Pierre Leguay 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2019 215 $a1 online resource (352 p.) 311 $a2-7535-0777-5 330 $aAprès l?examen de l?eau et du feu à la fin du Moyen Âge (parus aux PUR), ce troisième volet est consacré à la terre, dans les limites de la ville, de ses faubourgs et à son arrière-pays économique et administratif. De larges espaces, libres de toute construction, s?opposent à la vision que chacun peut avoir d?un tissu urbain densément bâti à l?intérieur et aux abords d?une enceinte. Toute localité comporte des places, des terrains « vuydes ou ruyneuls », des clos de vigne, des champs cultivés, des prés, des carrières, des « rives » ou zones portuaires et quantité d?autres secteurs laissés à l?abandon. Une ville ne se conçoit pas sans des faubourgs semi-ruraux, sans cultures et sans des zones inhabitées nécessaires à l?existence des communautés d?habitants (marécages, grèves, palus, terrains d?élevage ou forêts). Les espaces libres qui peuvent dépasser les 30 à 40 % de la superficie urbaine, confèrent à beaucoup de villes du royaume de France et de ses grands fiefs aux XIVe et XVe siècles, un aspect rural très marqué. Ces espaces de passage sont également nécessaires à la défense, à la vie administrative dans le cadre d?une banlieue, à l?économie dans un hinterland, l?équivalent du contado des villes italiennes. Enfin, ces surfaces non aedificandi, ces lieux de rassemblement et de déplacement, sont indispensables à la vie sociale, permettent aux citadins de s?assembler, de tenir des réunions, de multiplier les activités ludiques et religieuses, les manifestations sportives comme la soule, les tournois et le jeu de paume. L?accueil des personnalités en visite, les fêtes, le charivari contribuent à donner aux lecteurs une vision bien différente de celle à laquelle nous ont habitués dans les travaux sur l?urbanisme. Cette synthèse sur un sujet peu connu repose sur l?examen d?archives multiformes, chroniques, ?uvres littéraires, textes normatifs (édits, ordonnances, bans), comptabilités seigneuriales et municipales et est complétée par apports de l?archéologie, de? 606 $aHistory 606 $aMedieval & Renaissance Studies 606 $ajardin 606 $aville médiévale 606 $aimaginaire médiéval 610 $aespaces verts 610 $ajardin 610 $aville médiévale 615 4$aHistory 615 4$aMedieval & Renaissance Studies 615 4$ajardin 615 4$aville médiévale 615 4$aimaginaire médiéval 700 $aLeguay$b Jean-Pierre$0214345 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910342953203321 996 $aTerres urbaines$93021275 997 $aUNINA