LEADER 03881 am 2200637 n 450 001 9910341153803321 005 20190607 010 $a2-7535-6799-9 024 7 $a10.4000/books.pur.108801 035 $a(CKB)4100000009365875 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-108801 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/42664 035 $a(PPN)267960719 035 $a(EXLCZ)994100000009365875 100 $a20190918j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes capitales de la Renaissance /$fJean-Marie Le Gall 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2019 215 $a1 online resource (194 p.) 311 $a2-7535-1389-9 330 $aLa Renaissance a rêvé de la cité idéale, a bâti de nouvelles villes et en a refaçonné beaucoup à partir d'une réflexion politique et artistique revivifiée par l'exemple de l'Antiquité et la relecture des Anciens. Mais l'époque fut aussi marquée par une analyse de la grande ville et de la capitale, produite par des chorographes, par des penseurs comme Botero, l'un des théoriciens de la raison d'État ou par des commissions établies par le pouvoir politique. En effet, certaines capitales furent alors fondées ou déplacées par lui, en fonction des évolutions géopolitiques ou de l'affirmation de l'État moderne. L'analyse fonctionnaliste des réseaux urbains, qui définit la capitale par l'accumulation de populations attirées par la concentration des fonctions politiques, administratives, économiques, culturelles en un lieu ne rend que très imparfaitement compte de ce qu'est une capitale à la Renaissance. Une approche nominaliste montre leur inégale répartition sur l'espace européen et parfois la fragilité de leur établissement. La réputation héritée de l'histoire, la présence de rituels politiques, la résidence du prince, le lieu de réunion d'assemblées, la possession de telle ou telle institution politique, judiciaire, religieuse ou intellectuelle sont autant de critères pouvant illustrer la métropolité, mais qui ne sont pas systématiquement réunis en un même lieu. Cet ouvrage montre que s'il existe des capitales, il est difficile de dresser l'idéal-type d'une capitale de la Renaissance car les configurations politiques sont diverses dans une Europe qui compte des monarchies, des empires, des républiques urbaines ou cités-états, des monarchies composites? Aussi, loin d'une analyse exclusivement fonctionnaliste, sont retenues des capitales de la Renaissance qui ne le sont plus forcément aujourd'hui, invitant ainsi le lecteur à échapper à une histoire des capitales qui ne soit que le récit téléologique de celles qui le demeurent encore. 606 $aHistory 606 $aRenaissance 606 $acapitale 606 $ahistoire urbaine 606 $aEurope 610 $aRenaissance 610 $acapitale 610 $ahistoire urbaine 610 $aEurope 615 4$aHistory 615 4$aRenaissance 615 4$acapitale 615 4$ahistoire urbaine 615 4$aEurope 700 $aBarredo$b Maria José Del Rio$01292623 701 $aCabantous$b Alain$0251019 701 $aChaline$b Olivier$0892518 701 $aCozzo$b Paolo$0473781 701 $aGall$b Jean-Marie Le$01292624 701 $aHamon$b Philippe$039123 701 $aMrozowski$b Przemyslaw$01292625 701 $aRagon$b Pierre$01292626 701 $aRicci$b Giovanni$034279 701 $aRouchon$b Olivier$01286522 701 $aSchaub$b Marie-Karine$01292627 701 $aLe Gall$b Jean-Marie$01292628 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910341153803321 996 $aLes capitales de la Renaissance$93022423 997 $aUNINA