LEADER 03820 am 2200625 n 450 001 9910340851403321 005 20190607 010 $a2-7535-6830-8 024 7 $a10.4000/books.pur.111165 035 $a(CKB)4100000009276967 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-111165 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/52079 035 $a(PPN)267960972 035 $a(EXLCZ)994100000009276967 100 $a20190916j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aLyon et la mer au XVIIIe siècle $eConnexions atlantiques et commerce colonial /$fOlivier Le Gouic 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2019 215 $a1 online resource (386 p.) 311 $a2-7535-1464-X 330 $aVille de foires et place bancaire de renom international au temps de ses marchands-banquiers italiens, Lyon s'impose au cours du XVIIIe siècle comme une ville manufacturière de premier plan, capitale européenne de la soierie. Au moment où les pôles d'impulsion de l'économie-monde glissent vers les ports de l'Atlantique, la cité du Rhône se repositionne par rapport aux nouveaux systèmes d'échanges que génère l'atlantisation de l'économie. Animée par une réelle dynamique commerciale, Lyon se tourne vers les villes-ports afin de rechercher de nouveaux débouchés pour ses précieuses étoffes, ses rubans de soie, or et argent, ses articles de mercerie et de confection. Mais il lui faut aussi assurer ses approvisionnements en denrées et marchandises d'outre-mer, car les modes de consommation évoluent : le café et le sucre s'imposent désormais dans le quotidien des Lyonnais, autant que les épices et les belles cotonnades des Indes. De son côté la Grande Fabrique exige de nouvelles matières tinctoriales, de l'indigo, de la cochenille et des bois de teinture, ainsi que les fils d'or et d'argent indispensables à la confection de ses étoffes les plus luxueuses, en attendant l'essor des manufactures de coton. Aussi, au cours du XVIIIe siècle, Lyon intègre-t-elle l'Atlantique français à son espace commercial, mais s'ouvre aussi sur l'Atlantique espagnol, principalement à partir du port de Cadix, tête de pont de la Carrera de Indias, où s'implante une importante colonie de marchands lyonnais. L'étude des relations économiques, commerciales et financières qui se mettent alors en place entre Lyon et les espaces océaniques permet de comprendre comment une ville de l'intérieur qui fut un pôle d'impulsion du grand commerce maritime au XVIe siècle réagit à l'essor de l'économie atlantique au cours du XVIIIe siècle, comment elle s'adapte à un contexte nouveau dans lequel l'impulsion est donnée par les villes-ports, quelles connexions s'établissent avec le négoce portuaire et quelles? 606 $aHistory 606 $amer 606 $aLyon 606 $ahistoire urbaine 606 $ahistoire atlantique 606 $acolonisation 606 $ahistoire maritime 606 $acolonies françaises 610 $ahistoire urbaine 610 $acolonisation 610 $acolonies françaises 610 $aLyon 610 $ahistoire atlantique 610 $amer 610 $ahistoire maritime 615 4$aHistory 615 4$amer 615 4$aLyon 615 4$ahistoire urbaine 615 4$ahistoire atlantique 615 4$acolonisation 615 4$ahistoire maritime 615 4$acolonies françaises 700 $aLe Gouic$b Olivier$01282362 701 $aBouëdec$b Gérard Le$01282363 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910340851403321 996 $aLyon et la mer au XVIIIe siècle$93018790 997 $aUNINA