LEADER 04185 am 2200685 n 450 001 9910338226103321 005 20190607 010 $a2-7535-6861-8 024 7 $a10.4000/books.pur.113936 035 $a(CKB)4100000009163550 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-113936 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/45464 035 $a(PPN)267961200 035 $a(EXLCZ)994100000009163550 100 $a20190904j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aLe droit de punir $eDu siècle des Lumières à nos jours /$fFrédéric Chauvaud 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2019 215 $a1 online resource (202 p.) 311 $a2-7535-1796-7 330 $aEn 1930, quelques années après avoir publié ses Souvenirs de la Cour d'assises, André Gide suggérait que la punition devrait tenir compte de la personnalité des criminels. Comment punir quelqu'un que l'on ne connaît pas ?, se demandait-t-il, ajoutant qu'« il est, sur la carte de l'âme humaine, bien des régions inexplorées ». Régulièrement, avec plus ou moins d'intensité, le droit de punir a été et reste l'objet de réflexions, de controverses, de propositions de loi, de demandes de réformes. Les débats sont tantôt vifs et profonds et semblent concerner le plus grand nombre, tantôt ils s'appauvrissent et restent réservés aux « spécialistes » qui dans des manuels ou des ouvrages d'histoire du droit pénal présentent ce dernier comme le droit de réprimer ou de sanctionner les auteurs d'infractions. Mais quel sens faut-il donner à la peine si elle n'est pas accompagnée d'autres mesures ? Est-elle une sorte d'horizon d'attente, une fiction des sociétés contemporaines qu'il faut bien entretenir ? Ne faut-il pas « remettre à plat » la justice pénale et se demander si après avoir puni il est possible de guérir ou de rendre un citoyen à la société ? La « pénalité » doit conserver son utilité écrivent les uns et les autres. Mais faut-il punir le crime ou plutôt les criminels ? Faut-il punir de la même manière les enfants, les fous et les récidivistes ? Que doit-on faire à l'époque de l'Empire français dans les colonies ? Ne conviendrait-il pas de se demander à nouveau pourquoi punir ? et de réfléchir à l'efficacité de la justice répressive ? La justice d'expiation et la « rédemption du coupable » ne suffisent pas, la peine est devenue aussi un enjeu symbolique et un moyen de communication, voire une « arme pénale ». Deux siècles après le Code pénal de 1810, une réflexion sur l'histoire du droit de punir et son actualité s'imposait, mais il fallait multiplier les approches disciplinaires, car le droit de punir ne relève pas seulement de considérations abstraites ou de joutes? 517 $adroit de punir 606 $aHistory 606 $ahistoire de la justice 606 $ajustice 606 $ahistoire sociale 606 $ajustice pénale 610 $ahistoire de la justice 610 $ajustice 610 $ajustice pénale 610 $ahistoire sociale 615 4$aHistory 615 4$ahistoire de la justice 615 4$ajustice 615 4$ahistoire sociale 615 4$ajustice pénale 700 $aAllinne$b Jean-Pierre$0136683 701 $aAmbroise-Rendu$b Anne-Claude$01283692 701 $aBoer$b Edwige de$01283693 701 $aChauvaud$b Frédéric$0435267 701 $aCoffin$b Jean-Christophe$01283694 701 $aDucousso-Lacaze$b Alain$01283695 701 $aGojosso$b Éric$0619274 701 $aGrihom$b Marie-José$01283696 701 $aJean$b Jean-Paul$0568037 701 $aMassé$b Michel$01283697 701 $aPorret$b Michel$0169499 701 $aRenneville$b Marc$0945384 701 $aVimont$b Jean-Claude$01283698 701 $aYvorel$b Jean-Jacques$01283699 701 $aChauvaud$b Frédéric$0435267 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910338226103321 996 $aLe droit de punir$93019177 997 $aUNINA