LEADER 03325 am 2200553 n 450 001 9910332057703321 005 20190611 010 $a979-1-03-510244-9 024 7 $a10.4000/books.psorbonne.27359 035 $a(CKB)4100000008789137 035 $a(FrMaCLE)OB-psorbonne-27359 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/44571 035 $a(PPN)26796921X 035 $a(EXLCZ)994100000008789137 100 $a20190729j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aLe de excidio britanniae de Gildas $eLes destinées de la culture latine dans l?île de Bretagne au VIe siècle /$fFrançois Kerlouégan 210 $aParis $cÉditions de la Sorbonne$d2019 215 $a1 online resource ([LXVIII]-603-[225] p.) 311 $a2-85944-064-X 330 $aL?île de Bretagne fut longtemps pauvre en écrivains latins, à l?inverse d?autres provinces de l?Empire romain. D?où l?intérêt du De Excidio Britanniae, écrit par Gildas au VIe siècle, qui au reste n?a d?abord retenu l?attention que des historiens du fait que l?auteur commence son livre par le rappel des événements qui ont marqué l?île entre le début de notre ère et son époque : rappel dont la nature est maintenant remise en question. On découvre à étudier l??uvre de Gildas un ouvrage nourri de disciplines et de textes essentiellement ecclésiastiques, et, en même temps, ce qui n?est pas contradictoire, l?héritage de la rhétorique du Ve siècle, les formules et les développements tombés dans l?usage commun. Le vocabulaire est bigarré, la syntaxe, correcte et même conservatrice, le style en revanche contient des traits qui caractériseront un certain latin insulaire, de tendance baroque. On a l?impression que l?école est proche, une école de bon niveau, mais de type colonial, gardienne des règles tout en étant soucieuse de rivaliser avec les meilleurs stylistes. Par ailleurs, si les Romains ont quitté l?île depuis plusieurs décennies, Gildas reste attaché à l?idéal d?un Empire garant de paix et d?unité. Il critique le manque de loyalisme des Bretons, leur attachement aux usages locaux et les Saxons, déjà dans l?île et encore païens, sont pour lui des Barbares. Attitude de refus, qui contraste avec les missions de Patrice en Irlande. Gildas aura surtout des successeurs, semble-t-il, dans le domaine du style. 517 $ade excidio britanniae de Gildas 606 $aHistory 606 $aMedieval & Renaissance Studies 606 $aLatin 606 $aGrande-Bretagne 606 $alittérature bretonne 606 $aBretagne 610 $aBretagne 610 $alittérature bretonne 610 $aLatin 610 $aGrande-Bretagne 615 4$aHistory 615 4$aMedieval & Renaissance Studies 615 4$aLatin 615 4$aGrande-Bretagne 615 4$alittérature bretonne 615 4$aBretagne 700 $aKerlouégan$b François$0413596 701 $aKerlouégan$b François$0413596 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910332057703321 996 $aLe de excidio britanniae de Gildas$93018623 997 $aUNINA