LEADER 03325 am 2200445 n 450 001 9910306650503321 005 20180814 010 $a2-35613-300-3 024 7 $a10.4000/books.ausonius.3368 035 $a(CKB)4100000007522690 035 $a(FrMaCLE)OB-ausonius-3368 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/63130 035 $a(PPN)234054794 035 $a(EXLCZ)994100000007522690 100 $a20190408j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 15$a?Les bêtises des Grecs? /$fAnna Heller 210 $aPessac $cAusonius Éditions$d2018 215 $a1 online resource (412 p.) 311 $a2-910023-74-5 330 $aD?après Dion de Pruse, les titulatures honorifiques que les cités d?Asie Mineure se disputaient avec acharnement sous le Haut-Empire étaient un sujet de risée à Rome, où on les désignait sous le nom de « bêtises grecques ». L?historiographie traditionnelle a repris à son compte cette interprétation des rivalités de l?époque impériale, considérée comme de vaines querelles symptomatiques de la décadence de la cité-État. Afin de dépasser ce lieu commun, il fallait enquêter en croisant les sources littéraires, épigraphiques et numismatiques, sur les enjeux matériels et symboliques de la compétition. Cet ouvrage met en lumière à la fois les implications concrètes des statuts privilégiés liés à l?organisation provinciale (capitale de « conventus », centre du culte impérial commun) et la fonction structurante de l?usage des titulatures, qui expriment et construisent une hiérarchie entre cités valable aux yeux des provinciaux comme des autorités romaines. Il propose en même temps une réflexion sur l?évolution qui a conduit à remplacer, au moins en partie, les conflits territoriaux classique par cette nouvelle forme d?« agôn » entre cités, qui établit Rome comme arbitre. Par-delà les mutations transparaît alors une profonde continuité : avec des armes nouvelles - la diplomatie sans la guerre, la rhétorique -, les Grecs continuent de s?affronter dans des conflits qui mettent en jeu d?importantes sources de revenus et des rapports de domination, en vertu des valeurs qui leur sont propres et qu?ils ont réussi à faire reconnaître par Rome. According to Dio Chrysostom, the constant rivalry of the cities of Asia Minor over rank and titles was moked by the Romans, who called those honorary appellations ?Greek failings?. Modern historians, following this point of view, have generally interpreted rivalvies of the imperial period as vain quarrels symptomatic of the decadence of the Greek city-state. This book is an attempt to provide new insight by investigating through literary,? 606 $aGreeks$zMiddle East$xHistory$yTo 1500 606 $aGreeks$zTurkey$zBithynia 607 $aBithynia 610 $adecadence 610 $ahistory 610 $atitulature 610 $arivalry 615 0$aGreeks$xHistory 615 0$aGreeks 700 $aHeller$b Anna$0732560 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910306650503321 996 $aLes be?tises des grecs$92874289 997 $aUNINA