LEADER 03256 am 2200481 n 450 001 9910283648703321 005 20171110 010 $a2-7535-5571-0 024 7 $a10.4000/books.pur.46292 035 $a(CKB)4100000006098420 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-46292 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/51293 035 $a(PPN)267956541 035 $a(EXLCZ)994100000006098420 100 $a20180830j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aDe l'honneur et des épices $eLes magistrats de la Chambre des comptes de Bretagne (XVIe-XVIIe siècles) /$fDominique Le Page 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2017 215 $a1 online resource (618-VIII p.) 311 $a2-7535-5128-6 330 $aApparues au tournant des XIVe et XVe siècles dans le royaume de France et dans les principautés qui évoluaient dans sa mouvance, les Chambres des comptes ont connu leur « âge d?or » au Moyen Âge en étant associées à la mise en place d?une fiscalité permanente et à la construction des domaines princiers. L?évolution institutionnelle leur a été préjudiciable à partir du XVIe siècle avec la concentration du pouvoir au sein du Conseil royal et des instances qui en dépendaient, le recours croissant aux financiers pour alimenter les caisses de la monarchie, la concurrence des parlements, des bureaux de finances ou des intendants. Malgré cela, elles n?en ont pas moins continué à jouer un rôle dans le contrôle de « l?argent du roi », en encadrant notamment le développement de nouvelles fiscalités comme celle des villes ou des états provinciaux, et dans la préservation de l?intégrité du domaine royal, ce qui les conduisait à recevoir les hommages des vassaux, à enregistrer des actes aussi divers que les lettres d?anoblissement ou de naturalité, à veiller à la conservation des archives ayant trait aux droits du roi. Par leur caractère de cours souveraines, elles ont attiré tout au long de l?époque moderne une part des élites du royaume, en quête d?honneur et d?épices, qui voulaient bénéficier des privilèges qu?elles octroyaient à leurs magistrats dont celui de l?anoblissement graduel était sans doute le plus important. À travers l?exemple de la Chambre des comptes de Bretagne des années 1540 à la fin du règne de Louis XIV et surtout de l?étude de son personnel, cet ouvrage contribue à la connaissance de ces institutions et dégage quelques ressorts de la « société d?offices » qui s?est mise en place en France à partir du XVIe siècle. 606 $aHistory 606 $aBretagne 606 $aAncien Régime 606 $afiscalité 610 $aBretagne 610 $afiscalité 610 $aAncien Régime 615 4$aHistory 615 4$aBretagne 615 4$aAncien Régime 615 4$afiscalité 700 $aLe Page$b Dominique$01295391 701 $aDescimon$b Robert$0163991 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910283648703321 996 $aDe l'honneur et des épices$93031909 997 $aUNINA