LEADER 02430 am 2200493 n 450 001 9910252740303321 005 20171213 010 $a979-1-03-650115-9 024 7 $a10.4000/books.pum.8021 035 $a(CKB)4100000001653818 035 $a(FrMaCLE)OB-pum-8021 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/59022 035 $a(VaAlCD)20.500.12592/n3m2wg 035 $a(PPN)22438662X 035 $a(EXLCZ)994100000001653818 100 $a20180123j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes scientifiques et la paix $eLa communauté scientifique internationale au cours des années 20 /$fBrigitte Schroeder-Gudehus 210 $aMontréal $cPresses de l?Université de Montréal$d2017 215 $a1 online resource (372 p.) 311 $a2-7606-3364-0 330 $aL'internationalité de la science n'entraîne pas l'internationalisme des scientifiques. La présente étude révise l'image idyllique d'une « science jamais en guerre ». Elle démontre que la communauté scientifique internationale, en plein essor au tournant du siècle, n'opposait pas, aux impératifs de ce qui était alors perçu comme l'intérêt national, les normes d'une solidarité supérieure de l'esprit ou de l'humanité. Bien au contraire, les voix de la modération se firent d'abord entendre dans les milieux politiques. La détente locarnienne était l'oeuvre de la politique étrangère des États. L'histoire ne confirme donc pas la légende voulant que les scientifiques constituent nécessairement le fer de lance du mouvement pour la paix. Les hommes de science ne sont-ils pas à ta remorque de l'Histoire plutôt qu'ils ne la façonnent ? 606 $aCultural studies 606 $apaix 606 $arelations internationales 606 $acoopération internationale 610 $arelations internationales 610 $acoopération internationale 610 $apaix 615 4$aCultural studies 615 4$apaix 615 4$arelations internationales 615 4$acoopération internationale 700 $aSchroeder-Gudehus$b Brigitte$050448 701 $aDel Busso$b Antoine$01309540 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910252740303321 996 $aLes scientifiques et la paix$93029380 997 $aUNINA