LEADER 03754oam 2200661zu 450 001 9910140124303321 005 20210807001147.0 010 $a2-7535-3048-3 024 7 $a10.4000/books.pur.4064 035 $a(CKB)2560000000351978 035 $a(SSID)ssj0001541727 035 $a(PQKBManifestationID)11897598 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001541727 035 $a(PQKBWorkID)11535083 035 $a(PQKB)11031002 035 $a(WaSeSS)IndRDA00045398 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-4064 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/53624 035 $a(PPN)267954298 035 $a(EXLCZ)992560000000351978 100 $a20160829d2008 uy 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 14$aLes MJC : de l'été des blousons noirs à l'été des Minguettes, 1959-1981 210 $cPresses universitaires de Rennes$d2008 210 31$a[Place of publication not identified]$cPresses universitaires de Rennes$d2008 215 $a1 online resource (392 pages) 225 1 $aHistoire 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-7535-0541-1 320 $aIncludes bibliographical references and index. 330 $aLes Maisons des jeunes et de la culture (MJC) font partie de ces institutions méconnues bien que souvent évoquées. Parfois confondues avec les Maisons de la culture d?André Malraux, parfois assimilées à de simples maisons de jeunes, elles sont victimes de l?ampleur de leur objectif : lier jeunesse et culture dans une perspective d?éducation populaire. Ce livre retrace leur histoire à leur apogée, entre 1959, lorsque la médiatisation du phénomène blousons noirs favorise une mobilisation en leur faveur, et 1981, quand l?apparition du « mal des banlieues » signalait un changement d?époque : l?insertion sociale des jeunes devenait une priorité tandis que le lien entre jeunesse, loisirs et action culturelle achevait de se dissoudre dans la crise du socio-culturel. Entre ces deux dates, le millier de MJC que comptait alors le territoire a connu une histoire aussi riche que mouvementée. La diversité des activités abritées dans leurs murs n?a d?ailleurs pu que contribuer à rendre les MJC difficilement saisissables : tour à tour foyers de jeunes et maisons pour tous, proposant expérimentations théâtrales et ateliers de bricolage, espaces de débats et sociabilité, elles furent aussi des pépinières pour la formation de militants culturels et politiques locaux. Lieux singuliers qui ont pu être présentés, parfois simultanément, comme des repaires de gauchistes, des centres de propagande communiste et des terreaux de la deuxième gauche, les MJC permettent de saisir la complexité de la vie associative, dans sa richesse mais aussi sa difficulté. 410 0$aCollection "Histoire" (Rennes, France) 606 $aSociology & Social History$2HILCC 606 $aSocial Sciences$2HILCC 606 $aSocieties & Clubs$2HILCC 610 $aMaisons des jeunes et de la culture (MJC) 610 $ajeunesse 610 $acentre culturel 610 $aculture 610 $aanimation socio-culturelle 610 $aéducation populaire 610 $ahistoire de France 610 $avie associative 610 $apolitique culturelle 610 $avie politique 615 7$aSociology & Social History 615 7$aSocial Sciences 615 7$aSocieties & Clubs 700 $aBesse$b Laurent$0916684 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910140124303321 996 $aLes MJC : de l'été des blousons noirs à l'été des Minguettes, 1959-1981$92055086 997 $aUNINA