LEADER 04023oam 2200625zu 450 001 9910140121303321 005 20210807001059.0 010 $a2-7535-3227-3 024 7 $a10.4000/books.pur.7310 035 $a(CKB)2560000000352020 035 $a(SSID)ssj0001541839 035 $a(PQKBManifestationID)11898150 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001541839 035 $a(PQKBWorkID)11535356 035 $a(PQKB)11756440 035 $a(WaSeSS)IndRDA00045840 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-7310 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/55941 035 $a(PPN)267955065 035 $a(EXLCZ)992560000000352020 100 $a20160829d2006 uy 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 00$aPenser et représenter le corps dans l'Antiquité 210 $cPresses universitaires de Rennes$d2006 210 31$a[Place of publication not identified]$cPresses universitaires de Rennes$d2006 215 $a1 online resource (416 pages) 225 1 $aHistoire 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-7535-0205-6 330 $aDans un article fondateur paru en 1934, Marcel Mauss invitait anthropologues, sociologues et historiens à étendre leurs investigations aux techniques corporelles, désignant par cette expression les façons dont les hommes se servent de leur corps dans une société donnée. Cet art d'utiliser son corps varie d'une société à une autre, d'une époque à une autre : c'est pourquoi penser le corps ou le représenter ne se réduisent pas à une somme de connaissances scientifiques, mais relèvent bien d'une histoire, avec ses rythmes propres, ses ruptures et ses évolutions spécifiques. Depuis près de quarante ans, la recherche scientifique s'est évertuée à mettre en évidence cette histoire principalement à partir de l'avènement du christianisme, plus exactement à partir de l'émergence de nouvelles subjectivités, dans le but d'élucider les relations complexes que notre modernité décèle derrière les usages des plaisirs ou le souci de soi. Mais avant cette modernité, comment pensait-on le corps ? Quels étaient les systèmes de représentations mentales qui structuraient l'appréhension corporelle dans ses tâches et ses emplois quotidiens ou exceptionnels ? Si l'éducation ou la tradition impriment des marques culturelles indélébiles sur le corps de tous et chacun, comment les corps ont-ils fonctionné dans les sociétés de l'Antiquité ? Le colloque international tenu sur ce thème à l'université Rennes 2, dans le cadre de la Celtic Conference in Classics, se proposait d'apporter quelques réponses à ces questions et de livrer, par des études de cas, quelques clefs de compréhension. Les sociétés des cités grecques ou de l'Empire romain ont édicté des conduites, sanctionné des écarts, selon leurs normes propres, souvent bien éloignées des nôtres, parfois si proches aussi. Et, loin de réduire le corps à n'être qu'un instrument de savoir-vivre ou un carcan étroitement surveillé, les Anciens ont surtout développé une pensée pour que le corps sache vivre et mieux vivre dans le monde. 410 0$aCollection "Histoire" (Rennes, France) 606 $aAnthropology$2HILCC 606 $aSocial Sciences$2HILCC 606 $aManners & Customs$2HILCC 610 $aanthropologie du corps 610 $anormes sociales 610 $adouleur 610 $areprésentation mentale 610 $areprésentation sociale 610 $asystème de représentation 615 7$aAnthropology 615 7$aSocial Sciences 615 7$aManners & Customs 700 $aFrancis Prost$b Jérôme Wilgaux (dir.)$4auth$01356969 702 $aWilgaux$b Jérôme 702 $aProst$b Francis 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910140121303321 996 $aPenser et représenter le corps dans l'Antiquité$93362184 997 $aUNINA