LEADER 04040oam 2200637zu 450 001 9910139973003321 005 20210807001239.0 010 $a2-36245-035-X 024 7 $a10.4000/books.ifeagd.202 035 $a(CKB)2560000000351766 035 $a(SSID)ssj0001542170 035 $a(PQKBManifestationID)12012918 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001542170 035 $a(PQKBWorkID)11535665 035 $a(PQKB)10081230 035 $a(WaSeSS)IndRDA00046043 035 $a(FrMaCLE)OB-ifeagd-202 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/46787 035 $a(PPN)182838641 035 $a(EXLCZ)992560000000351766 100 $a20160829d2003 uy 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 13$aUn espace indécis au c?ur d'Istanbul : la muraille de Théodose II en 2001 210 $cInstitut français d?études anatoliennes$d2003 210 31$a[Place of publication not identified]$cInstitut français d'études anatoliennes$d2003 215 $a1 online resource (37 pages) 225 1 $aPatrimoines au pre?sent ;$vNombre 1 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-906053-78-3 320 $aIncludes bibliographical references. 330 $aLa muraille élevée au xixe siècle. Elle formait la limite et la frontière de la ville, et a contribué à façonner la forme urbaine autant que les représentations symboliques de la cité. Sa « déprise » en tant qu'édifice militaire a favorisé l'installation d'usages détournés qui se sont généralisés sur sa partie terrestre avec les phases d'expansion rapides des années 1950 et 1970. La muraille terrestre accueille ainsi de l'habitat aménagé dans les murs et les tours, ainsi que des activités économiques légales, informelles, et illégales autour de l'agriculture, de l'artisanat, du commerce, de la récupération, des trafics illicites et de la prostitution. Elle est aussi le lieu d'usages quotidiens très variés : franchissements piétons pour rejoindre les arrêts de bus sur la rocade qui longe l'édifice sur les sept kilomètres de sa longueur, déambulations, repos et siestes, libations, préparations de repas, réunions autour d'un mangal (petit barbecue de métal), pratiques sexuelles, et, parfois, refuge de manifestants. En 1985, l'inscription de la ville sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco amène des opérations d'expulsion et de rénovation du site. Mais les usages détournés reviennent sitôt les chantiers achevé, ce qui détermine un processus de recomposition territoriale permanent et instable. Le dossier analyse les investissements concurrents du site et les conflits d'appropriation matérielle et symbolique (mise en scène historique, survie économique, lieu de défoulement...), qui restent reliés au processus d'urbanisation global de la métropole. Celui-ci s'appuie sur une première recherche sur ce terrain, menée à Istanbul en 2000 et 2001. Motivé au départ par une interrogation sociologique et anthropologique sur l'espace, il se termine par la proposition de définition de la notion de « lieux indécis. » 410 0$aDossiers de l'IFEA.$pSe?rie Patrimoines au pre?sent ;$vNombre 1. 606 $aArt, Architecture & Applied Arts$2HILCC 606 $aArchitecture$2HILCC 607 $aIstanbul (Turkey)$xAntiquities 610 $aminorités confessionnelles 610 $aespaces urbains 610 $aUNESCO 610 $apéninsule historique 610 $aminorités ethniques 610 $apatrimonialisation 610 $amarges urbaines 610 $amuraille de Théodose 610 $aTurquie 615 7$aArt, Architecture & Applied Arts 615 7$aArchitecture 700 $aDorso$b Franck$0688271 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910139973003321 996 $aUn espace indécis au c?ur d'Istanbul : la muraille de Théodose II en 2001$92019343 997 $aUNINA