LEADER 04111oam 2200601zu 450 001 9910137473103321 005 20210807002241.0 010 $a2-8218-1563-8 010 $a2-35159-272-7 024 7 $a10.4000/books.ifpo.631 035 $a(CKB)3170000000060987 035 $a(SSID)ssj0000758946 035 $a(PQKBManifestationID)12385805 035 $a(PQKBTitleCode)TC0000758946 035 $a(PQKBWorkID)10781686 035 $a(PQKB)10140616 035 $a(FrMaCLE)OB-ifpo-631 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/52482 035 $a(PPN)18282974X 035 $a(EXLCZ)993170000000060987 100 $a20160829d2009 uy 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 12$aL'Orient-Express : chronique d'un magazine libanais des années 1990 210 $cPresses de l?Ifpo$d2009 210 31$a[Place of publication not identified]$cInstitut français du Proche Orient$d2009 215 $a1 online resource (184 p.) 225 0 $aLes cahiers de l'IFPO L'Orient-Express 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-35159-084-8 330 $aL?Orient-Express : du nom d?« un train qui se hâte lentement ». Dès sa naissance, le magazine jouait l?effronterie et la contradiction. Il affichait des ambitions assumées : « être un journal arabe en français », en renouant le lien rompu entre le Liban réel, « arabe d?identité et d?appartenance » comme le formule le texte constitutionnel, et un public francophone volontairement ou non ignorant de faits politiques, sociaux, culturels qui traversent le pays. Faire de la langue française un outil d?ouverture plutôt que d?exclusion. Faire qu?au sein du Liban, sédimenté de mémoires concurrentes et d?affrontements guerriers, un terreau commun se cultive, et que vers le reste du monde, les regards, rendus curieux, se tournent. Être « ici et ailleurs ». Créer des « transcultures » où se côtoieraient Fayruz et Patti Smith, Gilles Deleuze et Tayeb Salih, Portishead et Edward Saïd, Salman Rushdie et NTM, Allen Ginsberg et Ounsi El Hage. Cette identité multipliant les lignes, les facettes, n?empêchait nullement des prises de position continuellement réaffirmées. D?un mois à l?autre, L?Orient-Express n?a eu de cesse d?appeler de ses v?ux un Liban démocratique, laïc et indépendant, dans le maintien des solidarités interarabes. La tragédie palestinienne est rappelée chaque fois que la ponctue un nouvel espoir, rare, ou un nouveau crime. C?est en priorité aux jeunes que L?Orient-Express désirait faire entendre ses appels au réveil politique, pour qu?ils se battent pour une individuation de l?espace public et leur droit au plaisir. Le premier numéro, novembre 1995 : « Quand la politique faisait rêver », saluait les révoltes estudiantines des années 1960 et 1970. Le dernier, février 1998 : « Étudiants, et maintenant que faire ? », était consacré aux manifestations étudiantes de décembre 1997. Et puis l?insolence pourtant salutaire de cette aventure journalistique a été intimée au silence. Trop de brèches ouvertes dans un après-guerre amnésique... Cette troisième édition des? 606 $aLebanese periodicals$xPublishing$xHistory and criticism 606 $aJournalism & Communications$2HILCC 606 $aJournalism$2HILCC 607 $aLebanon$xPolitics and government$y1990-$vPeriodicals 607 $aLebanon$xHistory$y1990-$vPeriodicals 610 $amagazine libanais 610 $achronique 610 $atransculture 610 $aprise de position 615 0$aLebanese periodicals$xPublishing$xHistory and criticism 615 7$aJournalism & Communications 615 7$aJournalism 700 $aIché$b Sandra$0802355 702 $aIchâe$b Sandra 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910137473103321 996 $aL?Orient-Express : Chronique d'un magazine libanais des années 1990$91803670 997 $aUNINA