LEADER 04195 am 2200673 n 450 001 9910137019903321 005 20160602 010 $a2-7535-3674-0 024 7 $a10.4000/books.pur.34413 035 $a(CKB)3710000000733647 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-34413 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/59042 035 $a(PPN)194303608 035 $a(EXLCZ)993710000000733647 100 $a20160623j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aSe déplacer pour se situer /$fSandrine Depeau, Thierry Ramadier 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2016 215 $a1 online resource (195-[4] p.) 311 $a2-7535-1713-4 330 $a« Pierre qui roule n'amasse pas mousse » di(sai)t-on ! Aux vues des injonctions ou des désirs de dé/re/placement, le rapport à la mobilité reste ambigu : alors qu'être mobile rapporte à certains, pour d'autres c'est un élément de la vie quotidienne qui contribue à leur appauvrissement. Et il en est de même pour « l'immobilité », source d'isolement et de précarisation comme de confort de vie. Au fil des années, les problématiques de recherche sur la mobilité quotidienne se sont diversifiées, notamment parce qu'elles proviennent autant de questionnements qui sont au premier abord extérieurs à la mobilité (problèmes environnementaux, transformation des modèles économiques, rapports entre groupes sociaux, etc.) que de questions plus classiques relatives aux infrastructures de déplacement en tant que telles. Ainsi, plutôt que de décrire toujours plus finement des flux, il est également demandé à la recherche scientifique de comprendre comment se structurent nos dé/re/placements quotidiens. Rares sont les travaux qui associent mobilité et identité à partir d'une analyse des processus qui structurent cette relation, car l'approche phénoménologique est souvent de rigueur. Pourtant, se déplacer dans l'espace géographique, c'est exprimer son rapport aux autres par le trajet et le lieu de destination, par le mode utilisé, par son rapport au temps et à ceux que l'on croise lors du déplacement, etc. ; bref, c'est jouer de la régulation de distances simultanément géographiques et sociales. Ce rapport entre identité et mobilité suppose également que des processus socio-cognitifs participent à la structuration de ces distances tant géographiques que sociales. Ces trois dimensions (spatiale, sociale et cognitive), de la mobilité comme de l'identité, renvoient toutes aux structures sociales pré-existantes, permettant ainsi, d'une part de sortir de la classification strictement spatio-temporelle des mobilités, et d'autre part de dépasser le paradigme individualiste où tout semblerait? 606 $aGeography 606 $aidentité collective 606 $aterritorialité humaine 606 $amobilité spatiale 610 $amobilité spatiale 610 $aterritorialité humaine 610 $aidentité collective 615 4$aGeography 615 4$aidentité collective 615 4$aterritorialité humaine 615 4$amobilité spatiale 700 $aBailleul$b Hélène$01299283 701 $aBrocard$b Madeleine$0248299 701 $aCarpentier$b Samuel$01299284 701 $aCourty$b Guillaume$01297935 701 $aDepeau$b Sandrine$01299285 701 $aDubucs$b Hadrien$01299286 701 $aFeildel$b Benoît$01299287 701 $aGiladi$b Amotz$01299288 701 $aJouffe$b Yves$01299289 701 $aKoebel$b Michel$01299290 701 $aLegrand$b Caroline$01299291 701 $aLévêque$b Laurent$01299292 701 $aOrtar$b Nathalie$01285194 701 $aPasquier$b Sylvain$01299293 701 $aPierre-Marie$b Emmanuelle$01299294 701 $aRamadier$b Thierry$01299295 701 $aDepeau$b Sandrine$01299285 701 $aRamadier$b Thierry$01299295 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910137019903321 996 $aSe déplacer pour se situer$93025114 997 $aUNINA