LEADER 02267 am 2200493 n 450 001 9910137013503321 005 20160118 010 $a2-271-09094-6 024 7 $a10.4000/books.editionscnrs.5078 035 $a(CKB)3710000000735272 035 $a(FrMaCLE)OB-editionscnrs-5078 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/57079 035 $a(PPN)195771982 035 $a(EXLCZ)993710000000735272 100 $a20160701j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 13$aUn Proche-Orient sans romantisme $eJournal de voyage /$fLeopold Weiss 210 $aParis $cCNRS Éditions$d2016 215 $a1 online resource (163 p.) 311 $a2-271-06288-8 330 $aEn 1923, un jeune autrichien, Leopold Weiss, sillonne le Moyen-Orient et rédige des carnets pour la Frankfurter Zeitung. De Jérusalem à Malte, en passant par Le Caire et Damas, en train, en voiture, à pied, il parcourt sept mois durant la Palestine alors sous mandat britannique. Son récit tient à la fois du journal de voyage classique (lieux visités, portraits de personnages rencontrés) et de réflexions plus politiques. Leopold Weiss est fasciné par le mouvement national arabe naissant. Il critique l'établissement d'un foyer juif et sent que les Palestiniens arabes n'abandonneront jamais leur terre. Son récit est emblématique d'une génération qui chercha en Orient « une vérité spirituelle du monde ». Leopold Weiss se convertit à l'islam et participa plus tard à la création du Pakistan, comme le rappelle Florence Heymann. 606 $aHistory 606 $aLiterature (General) 606 $aProche-Orient 606 $arécit de voyage 606 $aXXème siècle 610 $aXXème siècle 610 $arécit de voyage 610 $aProche-Orient 615 4$aHistory 615 4$aLiterature (General) 615 4$aProche-Orient 615 4$arécit de voyage 615 4$aXXème siècle 700 $aWeiss$b Leopold$0254221 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910137013503321 996 $aUn Proche-Orient sans romantisme$93020152 997 $aUNINA