LEADER 04152nam 2200769zu 450 001 9910133364203321 005 20210807004434.0 010 $a2-7099-1770-X 024 7 $a10.4000/books.irdeditions.2591 035 $a(CKB)3390000000053600 035 $a(SSID)ssj0001537201 035 $a(PQKBManifestationID)11830996 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001537201 035 $a(PQKBWorkID)11518808 035 $a(PQKB)10004450 035 $a(WaSeSS)IndRDA00044373 035 $a(FrMaCLE)OB-irdeditions-2591 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/45053 035 $a(PPN)267930259 035 $a(FR-PaCSA)88876445 035 $a(FRCYB88876445)88876445 035 $a(EXLCZ)993390000000053600 100 $a20241012d2013 u| | 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 00$aDiasporas scientifiques : comment les pays en développement peuvent-ils tirer parti de leurs chercheurs et de leurs ingénieurs expatriés 210 $cIRD Éditions$d2003 210 31$a[Place of publication not identified]$cIRD Éditions$d2003 215 $a1 online resource (464 pages) 225 1 $aCollection Expertise colle?giale 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-7099-1521-9 330 $aDepuis quelques décennies, les pays du Sud assistent à la fuite de leurs « cerveaux » vers les pays du Nord, un phénomène préjudiciable à la formation de leurs cadres et de leurs élites scientifiques nationales, inquiétant pour leur développement. Cependant, on observe depuis quelques années un processus qui pourrait compenser pour partie cette fuite de matière grise. En effet, par des apports informels, les communautés expatriées aident, conseillent et informent les institutions et les chercheurs de leurs pays d'origine. Quelle est l'ampleur du phénomène ? Quelles formes principales revêt-il ? Quelle est son efficacité ? Les responsables des pays d'origine et des pays d'accueil doivent-ils soutenir ce type d'initiatives informelles ? Si oui, par quels moyens et que peut-on en attendre ? For some décades now, developing countries have witnessed a northward "brain drain" of national talent. It is a trend that hampers the training of a country's managers and the constitution of a national scientific elite, and is worrying in terms of development. However, in recent years a potential counter-trend has emerged as expatriate communities, through their informal inputs, assist, advise and inform researchers and institutes in their home countries. How widespread are these activities? What forms do they mainly take? How effective are they? This collegial expertise report seeks to answer these questions and assess possible solutions for the future. Should the authorities in expatriates' home countries and host countries support these informal, spontaneous initiatives? If so how, and what results are to be expected? 410 0$aExpertise colle?giale. 606 $aPhysical Sciences & Mathematics$2HILCC 606 $aSciences - General$2HILCC 610 $ainnovation 610 $aInde 610 $apolitique de la recherche 610 $acoopération technique 610 $aétudiant 610 $aÉtats-Unis 610 $aAfrique du Sud 610 $amigration internationale 610 $aenseignement supérieur 610 $aniveau d?instruction 610 $adiaspora scientifique 610 $acoopération scientifique 610 $amonde 610 $aChine 610 $aFrance 610 $aAfrique 610 $atiers monde 615 7$aPhysical Sciences & Mathematics 615 7$aSciences - General 700 $aValeria Hernández$4auth$01355895 702 $aMeyer$b J. -B 702 $aBarré$b Rémi 702 $aHernandez$b Valeria A 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910133364203321 996 $aDiasporas scientifiques : comment les pays en développement peuvent-ils tirer parti de leurs chercheurs et de leurs ingénieurs expatriés$93359989 997 $aUNINA