LEADER 04092nam 2200433 450 001 9910131955603321 005 20240207203958.0 010 $a1-4123-5075-1 035 $a(CKB)3680000000168671 035 $a(NjHacI)993680000000168671 035 $a(EXLCZ)993680000000168671 100 $a20240207d2006 uy 0 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aJean Stoetzel e?le?ve de Maurice Halbwachs $eles origines franc?aises de la the?orie des opinions /$fJean-Christophe Marcel 210 1$aChicoutimi :$cJ.-M. Tremblay,$d2006. 215 $a1 online resource 225 1 $aClassiques des sciences sociales 320 $aIncludes bibliographical references. 327 $aRe?sume? -- Abstract -- Introduction -- The?oriser l'affectif -- Une nouvelle posture e?piste?mologique -- La notion d'opinion : un concept pluridimensionnel -- Une sociologie re?solument empirique -- Le recours ne?cessaire a? la quantification -- L'enque?te sur le terrain remise au gou?t du jour -- Conscience collective et opinion publique le legs d'Halbwachs -- L'opinion : une « donne?e imme?diate » de la conscience sociale -- Une the?orie de « l'instinct social » -- Un exemple : l'enque?te sur l'immigration -- Conclusion -- Re?fe?rences bibliographiques. 330 $aLe but de cet article est de sugge?rer que contrairement a? l'image qu'on a garde?e de lui (et qu'il a largement contribue? lui-me?me a? entretenir), Jean Stoetzel n'a pas e?te? pour la sociologie durkheimienne le « parricide » qu'on a souvent identifie? en lui. Sans doute la me?thode des sondages inspire?e de Gallup rompt-elle avec la posture e?piste?mologique des durkheimiens, puisqu'elle travaille directement sur le sens que les individus donnent de leur conduite, et ambitionne gra?ce au traitement chiffre? des opinions recueillies de mettre au jour les e?ventuelles attitudes qui sont a? l'oeuvre derrie?re les courants d'opinion. Ne?anmoins, ce protocole de recherche s'appuie sur une vision de l'homme en socie?te? ou? ce dernier ne laisse pas de subir la contrainte d'une conscience collective, et ou? l'opinion qu'il formule est la forme sensible des repre?sentations essentielles que cette conscience renferme. On pourrait s'autoriser a? y voir un prolongement de la conception qu'Halbwachs se faisait jadis de la prise que la socie?te? a sur elle-me?me et sur son corps (a? savoir sa population) de?s lors qu'elle adopte une forme « sensible » mate?rielle qui s'impose aux esprits. 330 $aThis article aims at suggesting that in contradiction with his selfmade reputation jean Stoetzel is not the parricide of the durkheimian sociology he has often been refered to. The polling method inspired by Gallup undoubtedly breaks with the durkheimians' epistemological attitude. It operates directly on the meaning given by individuals to their behaviours. It also has the ambition, thanks to data processing, to unveil the potential attitudes at work behind the trends of public opinion. This research protocol is based however on a vision of man as a part of society, constantly under the pressure of a collective conscience. His opinion is the perceptible form of the basic representations lying within this conscience. One may thus consider it as an extension of Halbwachs' conception of the influence society has on itself and its body (i.e. its population) as soon as it adopts a « perceptible » material form that penetrates our minds. 410 0$aClassiques des sciences sociales. 517 $aJean Stoetzel élève de Maurice Halbwachs 606 $aCollective behavior 606 $aHuman beings 615 0$aCollective behavior. 615 0$aHuman beings. 676 $a302.35 700 $aMarcel$b Jean-Christophe$0856484 801 0$bNjHacI 801 1$bNjHacl 906 $aBOOK 912 $a9910131955603321 996 $aJean Stoetzel e?le?ve de Maurice Halbwachs$93909454 997 $aUNINA