LEADER 03570oam 2200505zu 450 001 9910131947903321 005 20240403144927.0 010 $a2-7132-2568-X 010 $a2-8218-2100-X 024 7 $a10.4000/books.editionsehess.643 035 $a(CKB)3460000000122095 035 $a(SSID)ssj0001387237 035 $a(PQKBManifestationID)12547583 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001387237 035 $a(PQKBWorkID)11378473 035 $a(PQKB)11782586 035 $a(FrMaCLE)OB-editionsehess-643 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/52156 035 $a(PPN)182825760 035 $a(EXLCZ)993460000000122095 100 $a20160829d1999 uy 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 00$aL'armement Nantais Dans la Deuxième Moitié du XVIIIe Siècle 210 $cÉditions de l?École des hautes études en sciences sociales$d1999 210 31$a[Place of publication not identified]$cUnknown Publisher$d1999 215 $a1 online resource (468 p.) 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-7132-1281-2 330 $aExplicitons donc notre finalité, qui ne semble pas avoir été toujours bien comprise. Il ne s?agissait nullement d?utiliser les méthodes comptables du xxe siècle, ni de calculer « les flux d?argent » d?après les méthodes de nos jours. Sont-elles d?ailleurs toujours aussi pertinentes qu?on le prétend ? L?historien cherche simplement à dégager méthodes et façons de penser des négociants d?antan, donc à se glisser dans la peau de ces marchands avec leurs concepts, leurs méthodes. Il s?agit donc d?abord d?un apport à la connaissance de la mentalité « négociante » du temps et du moment. Au surplus, nos aïeux savaient fort bien ce qu?était le profit, le bénéfice : c?est ce qu?il s?agissait de dégager. J?ai donc suivi pas à pas, manuels imprimés et manuscrits à l?appui, les documents qui m?étaient accessibles. J?ai donc isolé les résultats des expéditions maritimes, ce qui m?était singulièrement simplifié par l?existence des comptes-courants des participants. Rappelons que le droit maritime diffère, sur à peu près tout, du droit commercial habituel et qu?il est, de ce fait, dangereux de vouloir à tout prix ramener les spécificités de ces commerces à celles des transactions terrestres ordinaires qui en sont pourtant les corollaires. C?est dire que le mot d?armateur n?a, au xviie siècle, pas de valeur spécifique. Ce sont des négociants avec tout ce que cela implique de variété de commerce de gros et donc maritime et terrestre enchevêtrés, quoique séparés en étapes chronologiques distinctes. Ces gens-là savaient faire la différence au point de n?avoir point à en faire mention. Les choses allaient de soi, puisque le voyage maritime et ses entours relevaient du droit maritime (donc pas ou peu de sociétés par actions, mais la domination des parts de navire et, éventuellement de prêt à la grosse aventure). Jean Meyer, 1999 607 $aNantes (France)$xCommerce$xHistory$y18th century 610 $aconstruction navale 610 $aNantes 610 $aarmateurs 610 $ahistoire maritime 700 $aMeyer$b Jean$f1924-$0308994 702 $aMeyer$b Jean$f1924- 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910131947903321 996 $aL'armement Nantais Dans la Deuxième Moitié du XVIIIe Siècle$92861987 997 $aUNINA