LEADER 04009 am 2200649 n 450 001 9910131516103321 005 20141219 010 $a2-7535-2398-3 024 7 $a10.4000/books.pur.9279 035 $a(CKB)3710000000442064 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-9279 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/49896 035 $a(PPN)267952724 035 $a(EXLCZ)993710000000442064 100 $a20150709j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 12$aL'image de la France dans l'Allemagne nazie $e1933-1945 /$fWolfgang Geiger 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2014 215 $a1 online resource (416 p.) 311 $a2-86847-374-1 330 $aCet ouvrage présente au public la première analyse approfondie de l'image de la France et des Français, telle qu'elle était véhiculée sous le Troisième Reich. L'auteur a dépouillé, souvent pour la première fois, une centaine de monographies (politiques et historiques, reportages journalistiques, souvenirs de soldat), de nombreux articles provenant de périodiques spécialisés ainsi que de l'hebdomadaire de Goebbels, Das Reich, tout comme des documents d'archives relatifs à la perception des Français par les autorités allemandes pendant la guerre et l'occupation. L'analyse montre que, jusqu'en 1938, dans le cadre de la "propagande de paix" hitlérienne, des appréciations différentes de la France pouvaient coexister : l'approche nationaliste, paradigmatique, mais teintée d'un fort sentiment d' "amour-haine", d'un Friedrich Sieburg, puis l'approche francophile, exceptionnelle, de Paul Distelbarth et enfin l'ethno-racisme des soi-disant "raciologues"... Toutes ces tendances gravitant autour du dénominateur commun de l'opposition antinomique, plus ancienne, de l' "être" français et de l' "être" allemand, culminent dans l'idée que les Français travaillent pour vivre tandis que les Allemands vivent pour travailler. Derrière les problèmes de tactique qui dominèrent ensuite les années d'occupation, centrés sur la question de la collaboration du point de vue allemand, la perception stéréotypée des Français se renforça, mais plus d'un auteur, là encore, ne fut pas sans trahir un sentiment d'ambiguïté, ne serait-ce que sous forme d'une jalousie concernant le statut de l'intellectuel et de la culture en France, ou à propos du fait que les Français savaient si bien, aux yeux des Allemands, s'arranger dans le quotidien avec les inconvénients de la situation : Goebbels, dès le lendemain de la défaite française, donna l'ordre de veiller à ce que les reportages ne trahissent pas qu'on vivait mieux à Paris, capitale du vaincu, qu'à Berlin, capitale du vainqueur ! Finalement, une? 606 $aHistory 606 $aPsychology, Social 606 $aopinion publique 606 $arelations internationales 606 $ahistoire contemporaine 606 $ahistoire des représentations 606 $aidentité collective 606 $areprésentation 606 $aXXe siècle 610 $arelations internationales 610 $aXXe siècle 610 $areprésentation 610 $aopinion publique 610 $ahistoire des représentations 610 $ahistoire contemporaine 610 $aidentité collective 615 4$aHistory 615 4$aPsychology, Social 615 4$aopinion publique 615 4$arelations internationales 615 4$ahistoire contemporaine 615 4$ahistoire des représentations 615 4$aidentité collective 615 4$areprésentation 615 4$aXXe siècle 700 $aGeiger$b Wolfgang$01294682 701 $aGeiger$b Wolfang$01294683 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910131516103321 996 $aL'image de la France dans l'Allemagne nazie$93023274 997 $aUNINA