LEADER 02248 am 2200457 n 450 001 9910131510903321 005 20150415 010 $a2-7177-2690-X 024 7 $a10.4000/books.editionsbnf.1498 035 $a(CKB)3710000000445534 035 $a(FrMaCLE)OB-editionsbnf-1498 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/42928 035 $a(PPN)189310227 035 $a(EXLCZ)993710000000445534 100 $a20150716j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes Cervantiades /$fJuan Goytisolo 210 $aParis $cÉditions de la Bibliothèque nationale de France$d2015 215 $a1 online resource (72 p.) 311 $a2-7177-2058-8 330 $a« Si Cervantes est l?écrivain dont je me sens le plus proche, cela tient à sa qualité de précurseur de toutes les aventures : si sa familiarité avec la vie musulmane donne à son ?uvre une indéniable dimension mudéjar, l?invention romanesque, à travers laquelle il assume la totalité de ses expériences et de ses rêves, fait de lui le meilleur exemple de l?attitude illustrée par le dicton : humani nihil a me alienum puto. Trois siècles et demi plus tard, les romanciers font encore du ?cervantisme? sans le savoir : en composant nos ?uvres, nous écrivons à partir de Cervantes et pour Cervantes ; en écrivant sur Cervantes, nous écrivons sur nous-mêmes, que sa ferveur islamique nous soit étrangère ou familière. Cervantes reste le point vers lequel toujours convergeront nos regards. » Juan Goytisolo, extrait de « Vicissitudes du mudéjarisme », in Chroniques sarrasines, Paris, Fayard, 1985. 606 $aLiterary Reviews 606 $aLiterary Theory & Criticism 606 $aCervantes 606 $aconférence 610 $aCervantes 610 $aconférence 615 4$aLiterary Reviews 615 4$aLiterary Theory & Criticism 615 4$aCervantes 615 4$aconférence 700 $aGoytisolo$b Juan$0131792 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910131510903321 996 $aLes Cervantiades$93032906 997 $aUNINA