LEADER 18886nam 2200421 450 001 9910131466303321 005 20240208014910.0 010 $a1-55441-213-7 024 7 $a10.1522/cla.due.for2 035 $a(CKB)3680000000167912 035 $a(NjHacI)993680000000167912 035 $a(EXLCZ)993680000000167912 100 $a20240208d2002 uy 0 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes formes e?le?mentaires de la vie religieuse $ele syste?me tote?mique en Australie /$fE?mile Durkheim 210 1$aChicoutimi :$cJ.-M. Tremblay,$d2002. 215 $a1 online resource 225 0 $aclassiques des sciences sociales 327 $aLIVRE I: QUESTIONS PRE?LIMINAIRES -- CHAPITRE I : De?finition du phe?nome?ne religieux et de la religion -- Utilite? d'une de?finition pre?alable de la religion; me?thode a? suivre pour proce?der a? cette de?finition. - Pourquoi il convient d'examiner d'abord les de?finitions usuelles. -- I. - La religion de?finie par le surnaturel et le myste?rieux. - Critique : la notion du myste?re n'est pas primitive -- II. - La religion de?finie en fonction de l'ide?e de Dieu ou d'e?tre spirituel. - Religions sans dieux. - Dans les religions de?istes, rites qui n'impliquent aucune ide?e de divinite? -- III. - Recherche d'une de?finition positive. - Distinction des croyances et des rites. - De?fi-ni-tion des croyances. - Premie?re caracte?ristique : division bipartite des choses en sacre?es et en profanes. - Caracte?res distinctifs de cette division. - De?finition des rites en fonction des croyances, - De?finition de la religion -- IV. - Ne?cessite? d'une autre caracte?ristique pour distinguer la magie de la religion. - L'ide?e d'E?glise. -Les religions individuelles excluent-elles l'ide?e d'E?glise ? -- CHAPITRE II : Les principales conceptions de la religion e?le?mentaire -- I. - L'animisme -- Distinction de l'animisme et du naturisme -- I. - Les trois the?ses de l'animisme : 1º Gene?se de l'ide?e d'a?me; 2º Formation de l'ide?e d'esprit ; 3º Transformation du culte des esprits en culte de la nature -- II. - Critique de la premie?re the?se. - Distinction de l'ide?e d'a?me et de l'ide?e double. - Le re?ve ne rend pas compte de l'ide?e d'a?me -- III. - Critique de la seconde the?se. - La mort n'explique pas la transformation de l'a?me en esprit. -Le culte des a?mes des morts n'est pas primitif . -- IV. - Critique de la troisie?me the?se. - L'instinct anthropomorphique. Critique qu'en a faite Spencer; re?serves a? ce sujet. Examen des faits par lesquels on croit prouver l'exis-ten-ce de cet instinct. - Diffe?rence entre l'a?me et les esprits de la nature. L'anthropomorphisme religieux n'est pas primitif. -- V. Conclusion: l'animisme re?duit la religion a? n'e?tre qu'un syste?me d'hallucinations . -- CHAPITRE III : Les principales conceptions de la religion e?le?mentaire (suite) -- II. - Le naturisme -- Historique de la the?orie -- I. - Expose? du naturisme d'apre?s Max Mu?ller -- II. - Si la religion a pour objet d'exprimer les forces naturelles, comme elle les exprime d'une manie?re errone?e, on ne comprend pas qu'elle ait pu se maintenir. - Pre?tendue distinction entre la religion et la mythologie -- III. - Le naturisme n'explique pas la distinction des choses en sacre?es et en profanes -- CHAPITRE IV: Le tote?misme comme religion e?le?mentaire historique de la question, me?thode pour la traiter -- I. - Histoire sommaire de la question du tote?misme -- II. - Baisons de me?thode pour lesquelles l'e?tude portera spe?cialement sur le tote?misme australien. -De la place qui sera faite aux faits ame?ricains -- LIVRE II: LES CROYANCES E?LE?MENTAIRES -- CHAPITRE I : Les croyances proprement tote?miques -- I. - Le totem comme nom et comme emble?me -- I. - De?finition du clan. - Le totem comme nom du clan. - Nature des choses qui servent de totems. - Manie?res dont est acquis le totem. - Les totems de phratries, de classes matrimoniales -- II. - Le totem comme emble?me. - Dessins tote?miques grave?s ou sculpte?s sur les objets; tatoue?s ou dessine?s sur les corps -- III. - Caracte?re sacre? de l'emble?me tote?mique. - Les churinga. - Le nurtunja. - Le waninga. - Caracte?re conventionnel des emble?mes tote?miques -- CHAPITRE Il : Les croyances proprement tote?miques (suite) -- II. - L'animal tote?mique et l'homme -- I. - Caracte?re sacre? des animaux tote?miques. - Interdiction de les manger, de les tuer, de cueillir les plantes tote?miques -- Tempe?raments divers apporte?s a? ces interdictions. - Prohibitions de contact. - Le caracte?re sacre? de l'animal est moins prononce? que celui de l'emble?me -- II. - L'homme. - Sa parente? avec l'animal ou la plante tote?mique, - Mythes divers qui expliquent cette parente?. - Le caracte?re sacre? de l'homme est plus apparent sur certains points de l'organisme: le sang, les cheveux, etc. - Comment ce caracte?re varie avec le sexe et l'a?ge. - Le tote?misme n'est pas une zoola?trie ni une phytola?trie -- CHAPITRE III : Les croyances proprement tote?miques (suite) -- III. Le syste?me cosmologique du tote?misme et la notion de genre -- I. - Les classifications des choses par clans, phratries, classes -- II. - Gene?se de la notion de genre : les premie?res classifications de choses empruntent leurs cadres a? la socie?te?. - Diffe?rences entre le sentiment des ressemblances et l'ide?e de genre. - Pourquoi celle-ci est d'origine sociale -- III. - Signification religieuse de ces classifications : toutes les choses classe?es dans un clan participent de la nature du totem et de son caracte?re sacre?. - Le syste?me cosmologique du tote?misme. - Le tote?misme comme religion tribale -- CHAPITRE IV : Les croyances proprement tote?miques (fin) -- IV. - Le totem individuel et le totem sexuel -- I. - Le totem individuel comme pre?nom; son caracte?re sacre?. - Le totem individuel comme emble?me personnel. - Liens entre l'homme et son totem individuel. - Rapports avec le totem collectif -- Il. - Les totems des groupes sexuels. - Ressemblances et diffe?rences avec les totems collectifs et individuels. - Leur caracte?re tribal -- CHAPITRE V : Origines de ces croyances -- I. - Examen critique des the?ories -- I. - The?ories qui de?rivent le tote?misme d'une religion ante?rieure : du culte des ance?tres (Wilken et Tylor) du culte de la nature (Jevons). - Critique de ces the?ories -- II. - The?ories qui de?rivent le tote?misme collectif du tote?misme individuel. - Origines attribue?es par ces the?ories au totem individuel (Frazer, Boas, Hill Tout). - Invraisemblance de ces hypothe?ses. - Raisons qui de?montrent l'ante?riorite? du totem collectif -- III. - The?orie re?cente de Frazer : le tote?misme conceptionnel et local. - Pe?tition de principe sur laquelle elle repose. - Le caracte?re religieux du totem est nie?. - Le tote?misme local n'est pas primitif -- IV. - The?orie de Lang : le totem ne serait qu'un nom. - Difficulte?s pour expliquer de ce point de vue le caracte?re religieux des pratiques tote?miques -- V. - Toutes ces the?ories n'expliquent le tote?misme qu'en postulant des notions religieuses qui lui seraient ante?rieures -- CHAPITRE VI : Origines de ces croyances (suite) -- II. - La notion de principe ou mana tote?mique et l'ide?e de force -- I. - La notion de force ou principe tote?mique. - Son ubiquite?. - Son caracte?re a? la fois physique et moral -- II. - Conceptions analogues dans d'autres socie?te?s inte?rieures. - Les dieux a? Samoa. - Le wakan des Sioux, l'orenda des Iroquois, le mana en Me?lane?sie. - Rapports de ces notions avec le tote?misme. - L'Aru?nkulta der, Arunta -- III. - Ante?riorite? logique de la notion de force impersonnelle sur les diffe?rentes personnalite?s mythiques. - The?ories re?centes qui tendent a? admettre cette ante?riorite? -- IV. - La notion de force religieuse est le prototype de la notion de force en ge?ne?ral -- CHAPITRE VII : Origines de ces croyances (fin) -- III. - Gene?se de la notion de principe ou mana tote?mique -- I. - Le principe tote?mique est le clan, mais pense? sous des espe?ces sensibles -- Il. - Raisons ge?ne?rales pour lesquelles la socie?te? est apte a? e?veiller la sensation du sacre? et du divin. -La socie?te? comme puissance morale impe?rative; la notion d'autorite? morale. - La socie?te? comme force qui e?le?ve l'individu au-dessus de lui-me?me. - Faits qui prouvent que la socie?te? cre?e du sacre? -- III. - Baisons spe?ciales aux socie?te?s australiennes. - Les deux phases par lesquelles passe alternativement la vie de ces socie?te?s : dispersion, concentration. - Grande effervescence collective pendant les pe?riodes de concentration. Exemples. - Comment l'ide?e religieuse est ne?e de cette effervescence -- Pourquoi la force collective a e?te? pense?e sous les espe?ces du totem : c'est que le totem est l'emble?me du clan. - Explication des principales croyances tote?miques -- IV. 327 $a- La religion n'est pas un produit de la crainte. - Elle exprime quelque chose de re?el. - Son ide?alisme essentiel. - Cet ide?alisme est un caracte?re ge?ne?ral de la mentalite? collective. -Explication de l'exte?riorite? des forces religieuses par rapport a? leurs substrats. 327 $a- Du principe la partie vaut le tout -- V. - Origine de la notion d'emble?me: l'embIe?matisme, condition ne?cessaire des repre?senta-tions collectives. - Pourquoi le clan a emprunte? ses emble?mes au re?gne animal et au re?gne ve?ge?tal -- VI. - De l'aptitude du primitif a? confondre les re?gnes et les classes que nous distinguons. -Origines de ces confusions. - Comment elles ont fraye? la voie aux explications scientifiques. - Elles n'excluent pas la tendance a? la distinction et a? l'opposition -- CHAPITRE VIII : La notion d'a?me -- I. - Analyse de l'ide?e d'a?me dans les socie?te?s australiennes -- Il. - Gene?se de cette notion. - La doctrine de la re?incarnation d'apre?s Spencer et Gillen: elle implique que l'a?me est une parcelle du principe tote?mique. - Examen des faits rapporte?s par StrehIow; ils confirment la nature tote?mique de l'a?me -- III. - Ge?ne?ralite? de la doctrine de la re?incarnation. - Faits divers a? l'appui de la gene?se propose?e -- IV. - L'antithe?se de l'a?me et du corps: ce qu'elle a d'objectif. - Rapports de l'a?me individuelle et de l'a?me collective. - L'ide?e d'a?me n'est pas chronologiquement poste?rieure a? l'ide?e de mana. -- V. - Hypothe?se pour expliquer la croyance a? la survie -- VI. - L'ide?e d'a?me et l'ide?e de personne; e?le?ments impersonnels de la personnalite? -- CHAPITRE IX : LA NOTION D'ESPRITS ET DE DIEUX -- I. - Diffe?rence entre l'a?me et l'esprit. - Les a?mes des ance?tres mythiques sont des esprits, ayant des fonctions de?termine?es. - Rapports entre l'esprit ancestral, l'a?me individuelle et le totem individuel. - Explication de ce dernier. - Sa signification sociologique -- II. - Les esprits de la magie -- III. - Les he?ros civilisateurs -- IV. - Les grands dieux. - Leur origine. - Leur rapport avec l'ensemble du syste?me tote?mique. -Leur caracte?re tribal et internationalV. - Unite? du syste?me tote?mique -- LIVRE III : LES PRINCIPALES ATTITUDES RITUELLES -- CHAPITRE I : Le culte ne?gatif et ses fonctions. les rites asce?tiques -- I. - Le syste?me des interdits. - Interdits magiques et religieux. Interdits entre choses sacre?es d'espe?ces diffe?rentes. Interdits entre sacre? et profane. - Ces derniers sont a? la base du culte ne?gatif. - Principaux types de ces interdits; leur re?duction a? deux types essentiels -- II. - L'observance des interdits modifie l'e?tat religieux des individus. - Cas ou? cette efficacite? est particulie?rement apparente : les pratiques asce?tiques. - Efficacite? religieuse de la douleur. -Fonction sociale de l'asce?tisme -- III. - Explication du syste?me des interdits: antagonisme du sacre? et du profane, contagiosite? du sacre? -- IV. - Causes de cette contagiosite?. - Elle ne peut s'expliquer par les lois de l'association des ide?es. - Elle re?sulte de l'exte?riorite? des forces religieuses par rapport a? leurs substrats. Inte?re?t logique de cette proprie?te? des forces religieuses -- CHAPITRE II : Le culte positif -- I. - Les e?le?ments du sacrifice -- La ce?re?monie de l'Intichiuma dans les tribus de l'Australie centrale. - Formes diverses qu'elle pre?sente -- I. - Forme Arunta. - Deux phases. - Analyse de la premie?re visite aux lieux saints, disper-sion de poussie?re sacre?e, effusions de sang, etc., pour assurer la reproduction de l'espe?ce tote?mique -- II. - Deuxie?me phase: consommation rituelle de la plante ou de l'animal tote?mique -- III. - Interpre?tation de la ce?re?monie comple?te. - Le second rite consiste en une commu-nion alimentaire. - Raison de cette communion -- IV. - Les rites de la premie?re phase consistent en oblations. - Analogies avec les oblations sacrificielles. - L'Intichiuma contient donc les deux e?le?ments du sacrifice. - Inte?re?t de ces faits pour la the?orie du sacrifice -- V. - De la pre?tendue absurdite? des oblations sacrificielles. - Comment elles s'expli-quent: de?pendance des e?tres sacre?s par rapport a? leurs fide?les. - Explication du cercle dans lequel parait se mouvoir le sacrifice. - Origine de la pe?riodicite? des rites positifs -- CHAPITRE III : Le culte positif (suite) -- II - Les rites mime?tiques et le principe de causalite? -- I. - Nature des rites mime?tiques. - Exemples de ce?re?monies ou? ils sont employe?s pour assurer la fe?condite? de l'espe?ce -- II. - Ils reposent sur le principe : le semblable produit le semblable. - Examen de l'explication qu'en donne l'e?cole anthropologique. - Raisons qui font qu'on imite l'animal ou la plante. - Raisons qui font attribuer a? ces gestes une efficacite? physique. - La foi. - En quel sens elle est fonde?e sur l'expe?rience. - Les principes de la magie sont ne?s dans la religion -- III. - Le principe pre?ce?dent conside?re? comme un des premiers e?nonce?s du principe de causalite?. -Conditions sociales dont ce dernier de?pend. - L'ide?e de force impersonnelle, de pouvoir, est d'origine sociale. - La ne?cessite? du jugement causal explique?e par l'autorite? inhe?rente aux impe?ratifs sociaux -- CHAPITRE IV : Le culte positif (suite) -- III. - Les rites repre?sentatifs ou comme?moratifs -- I. - Rites repre?sentatifs avec efficacite? physique. - Leurs rapports avec les ce?re?monies ante?rieurement de?crites. - L'action qu'ils produisent est toute morale -- II. - Rites repre?sentatifs sans efficacite? physique. - Ils confirment les re?sultats pre?ce?dents. - L'e?le?ment re?cre?atif de la religion; son importance; ses raisons d'e?tre. - La notion de fe?te. -- III. - Ambigui?te? fonctionnelle des diffe?rentes ce?re?monies e?tudie?es; elles se substituent les unes aux autres. - Comment cette ambigui?te? confirme la the?orie propose?e. -- CHAPITRE V : Les rites piaculaires et l'ambigui?te? de la notion du sacre? -- De?finition du rite piacuIaire . -- I. - Les rites positifs du deuil. - Description de ces rites. -- II. - Comment ils s'expliquent. - Ils ne sont pas une manifestation de sentiments prive?s. - La me?chancete? pre?te?e a? l'a?me du mort ne peut pas davantage en rendre compte. - Ils tiennent a? l'e?tat d'esprit dans lequel se trouve le groupe. - Analyse de cet e?tat. - Comment il prend fin par le deuil. - Changements paralle?les dans la manie?re dont l'a?me du mort est conc?ue. -- III. - Autres rites piaculaires : a? la suite d'un deuil public, d'une re?colte insuffisante, d'une se?cheresse, d'une aurore astrale. - Rarete? de ces rites en Australie. - Comment ils s'expliquent. -- IV. - Les deux formes du sacre?: le pur et l'impur. - Leur antagonisme. - Leur parente?. - Ambigui?te? de la notion du sacre?. - Explication de cette ambigui?te?. - Tous les rites pre?sentent le me?me caracte?re . -- CONCLUSION -- Dans quelle mesure les re?sultats obtenus peuvent e?tre ge?ne?ralise?s. . -- I. - La religion s'appuie sur une expe?rience bien fonde?e, mais non privile?gie?e. - Ne?cessite? d'une science pour atteindre la re?alite? qui fonde cette expe?rience. - Quelle est cette re?alite? : les groupements humains. - Sens humain de la religion. - De l'objec-tion qui oppose la socie?te? ide?ale et la socie?te? re?elle. Comment s'expliquent, dans cette the?orie, l'individualisme et le cosmopolitisme religieux . -- II. - Ce qu'il y a d'e?ternel dans la religion. - Du conflit entre la religion et la science; il porte uniquement sur la fonction spe?culative de la religion. - Ce que cette fonction parai?t appele?e a? devenir . -- III. - Comment la socie?te? peut-elle e?tre une source de pense?e logique, c'est-a?-dire con-ceptuelle ? De?finition du concept : ne se confond pas avec l'ide?e ge?ne?rale ; se caracte?rise par son impersonnalite?, sa communicabilite?. - Il a une origine collective. - L'analyse de son contenu te?moigne dans le me?me sens. - Les repre?sentations col-lec--tives comme notions-types auxquelles les individus participent. - De l'objection d'apre?s laquelle elles ne seraient impersonnelles qu'a? condition d'e?tre vraies, - La pense?e conceptuelle est contemporaine de l'humanite?. -- IV. - Comment les cate?gories expriment des choses sociales. - La cate?gorie par excellence est le concept de totalite? qui ne peut e?tre sugge?re? que par la socie?te?. - Pourquoi les relations qu'expriment les cate?gories ne pouvaient devenir conscientes que dans la socie?te?. 327 $a- La socie?te? n'est pas un e?tre alogique. - Comment les cate?gories tendent a? se de?tacher des groupements ge?ographiques de?termine?s -- Unite? de la science, d'une part, de la morale et de la religion de l'autre. - Comment la socie?te? rend compte de cette unite?. 327 $a- Explication du ro?le attribue? a? la socie?te? : sa puissance cre?atrice. - Re?percussions de la sociologie sur la science de l'homme. 517 $aformes élémentaires de la vie religieuse 606 $aAboriginal Australians$xReligion 615 0$aAboriginal Australians$xReligion. 676 $a299.9215 700 $aDurkheim$b Emile$f1858-1917,$0422265 801 0$bNjHacI 801 1$bNjHacl 906 $aBOOK 912 $a9910131466303321 996 $aLes formes e?le?mentaires de la vie religieuse$93908813 997 $aUNINA