LEADER 03111oam 2200505zu 450 001 9910131408303321 005 20210807005007.0 010 $a2-7535-2316-9 024 7 $a10.4000/books.pur.15825 035 $a(CKB)3710000000441980 035 $a(SSID)ssj0001583458 035 $a(PQKBManifestationID)16264166 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001583458 035 $a(PQKBWorkID)14865093 035 $a(PQKB)11056002 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-15825 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/56947 035 $a(PPN)267952430 035 $a(EXLCZ)993710000000441980 100 $a20160829d2003 uy 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 13$aLa Preuve en Justice de L'antiquité à Nos Jours 210 $cPresses universitaires de Rennes$d2003 210 31$a[Place of publication not identified]$cPresses universitaires de Rennes$d2003 215 $a1 online resource (280 p.) 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 $a2-86847-835-2 330 $aFruit de la collaboration d'historiens et de juristes, le présent livre témoigne que les historiens se sont décidés à faire l'histoire de la justice sous tous ses rapports. Alors qu'ils s'étaient longtemps contentés de l'examiner sous l'angle des institutions judiciaires, ils prennent désormais en considération l'épaisseur sociale et les constructions politiques. En quoi un tel ouvrage peut-il intéresser non seulement l'historien de la société et l'historien du droit, mais aussi le praticien de la justice d'aujourd'hui ? Les juristes s'interrogent : le droit des preuves ne serait-il pas devenu archaïque? Les sciences et les techniques modernes n'obligeraient-elles pas à reconsidérer la notion de preuve ? Les contributions réunies dans cet ouvrage marquent autant de jalons pour l'histoire de la preuve. Elles font ressortir pourquoi cette manière d'opposer archaïsme et modernité n'est pas le meilleur moyen de penser la preuve. À travers l'analyse de situations, elles montrent que la référence à des preuves se rapporte toujours à une construction intellectuelle. La recherche de la preuve s'apparente donc moins à la découverte d'un objet préconstitué, qu'il soit matériel ou non, qu'à l'élaboration de critères selon lesquels elle est tenue pour acceptable. C'est pourquoi les choix qu'une société fait en matière de preuve renvoient finalement à elle-même, c'est-à-dire à ses héritages, à ses clivages et à ses tensions. 610 $aadministration judiciaire 610 $apreuve (droit) 610 $aprocédure juridique 610 $ajustice 610 $ahistoire du droit 700 $aLemesle$b Bruno$0326390 701 $aLemesle$b Bruno$0326390 712 02$aUniversité d'Angers, Centre d'histoire des régulations et des politiques sociales Staff 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910131408303321 996 $aLa Preuve en Justice de L'antiquité à Nos Jours$92197924 997 $aUNINA