LEADER 03439 am 2200529 n 450 001 9910131406703321 005 20150617 010 $a2-7535-2328-2 024 7 $a10.4000/books.pur.17117 035 $a(CKB)3710000000441996 035 $a(FrMaCLE)OB-pur-17117 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/42618 035 $a(PPN)267952473 035 $a(EXLCZ)993710000000441996 100 $a20150709j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 14$aLes campagnes de Touraine au XVIIIe siècle $eStructures agraires et économie rurale /$fBrigitte Maillard 210 $aRennes $cPresses universitaires de Rennes$d2015 215 $a1 online resource (508 p.) 311 $a2-86847-359-8 330 $aSon passé prestigieux et sa richesse monumentale font de la Touraine ancienne l'une des provinces françaises les plus connues. Mais que sait-on d'elle quand, aux XVIIe et XVIIIe siècles, elle n'est plus qu'une province comme d'autres, à la fois proche et éloignée de Paris ? Au XVIIIe siècle son économie est fondée sur l'agriculture et dans leur grande majorité les Tourangeaux sont des paysans. Les structures foncières y restent traditionnelles : la noblesse domine la seigneurie, peu agressive mais bien vivante ; les citadins laïques et le clergé possèdent une grande partie du sol, la petite et moyenne exploitation y règne. À l'instar de la France, la Touraine est « diversité ». À l'image de ses paysages ruraux tout en nuances, marqués par l'omniprésence des arbres et de la vigne, la province présente une palette étendue d'activités agricoles. Si les formes les plus traditionnelles de la céréaliculture occupent de vastes surfaces, il faut porter attention aux zones de culture intensive, comme les « varennes » ou le Chinonais qui n'ignore aucune des plantes venues d'ailleurs et qui fait une large place à l'élevage. La vallée de la Loire concentre une grande partie du vignoble ; elle est aussi un axe de communication majeur mais elle sert peu la province qui ne développe pas, au XVIIIe siècle, de productions d'exportation ou de viticulture de qualité, pour profiter de ses relations avec Nantes et l'Atlantique. Les contemporains dénoncent facilement la léthargie des habitants qui sont pourtant capables de brusques révoltes quand ils craignent la disette ; il faut sans doute voir dans cet apparent immobilisme la défense d'un équilibre fragile. Or les mauvaises années de la fin de l'Ancien Régime voient un retour en force des épidémies et la multiplication des pénuries et des chertés que prouve l'étude des mercuriales. 606 $aGeography 606 $aHistory 606 $aagriculture 606 $asystème agraire 606 $aconditions économiques 606 $avie rurale 610 $aagriculture 610 $asystème agraire 610 $avie rurale 610 $aconditions économiques 615 4$aGeography 615 4$aHistory 615 4$aagriculture 615 4$asystème agraire 615 4$aconditions économiques 615 4$avie rurale 700 $aMaillard$b Brigitte$01281950 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910131406703321 996 $aLes campagnes de Touraine au XVIIIe siècle$93028665 997 $aUNINA