LEADER 04153 am 2200613 n 450 001 9910131363303321 005 20150622 010 $a2-11-139916-7 035 $a(CKB)3710000000491171 035 $a(FrMaCLE)OB-deps-929 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/61235 035 $a(PPN)189313730 035 $a(EXLCZ)993710000000491171 100 $a20150708j|||||||| ||| 0 101 0 $afre 135 $auu||||||m|||| 181 $ctxt$2rdacontent 182 $cc$2rdamedia 183 $acr$2rdacarrier 200 10$aTransmission et reprise des entreprises culturelles : quels enjeux de politique publique ? /$fValérie Champetier, Cédric Fischer 210 $aParis $cDépartement des études, de la prospective et des statistiques$d2015 215 $a1 online resource (20 p.) 330 $aComment les entreprises culturelles survivent-elles au départ de leur créateur ou de leur dirigeant ? Dans les secteurs culturels comme dans l?ensemble des secteurs économiques, la question de la transmission se pose le plus souvent au moment de la cessation d?activité du dirigeant. Rarement anticipée, peu préparée et souvent mal vécue, la transmission est pourtant essentielle à la préservation des emplois, des compétences et de la diversité du tissu entrepreneurial. Les repreneurs doivent faire face à des problèmes d?accès au financement et expriment un besoin d?accompagnement et de sensibilisation. Selon le type d?activité, les différents secteurs culturels présentent toutefois des caractéristiques différentes face à la question de la transmission/reprise. Pour les activités proches de la création et de la production (galeries d?art ou production cinématographique par exemple), la reprise est assez rare et ce mode de création d?entreprise serait même à l?opposé de l?esprit de l?entrepreneur culturel qui se lance pour affirmer une vision artistique. Dans ces activités, les entreprises se structurent autour de la constitution d?un catalogue, cédé lors de la cessation d?activité. Dans les activités proches de la diffusion et du commerce (librairies et théâtres privés par exemple), la crise économique de 2008 marque une rupture. En 2006, 60% des créations se faisaient par reprise, contre 32% en 2010. Deux principaux dispositifs d?aide spécifiques à la transmission/reprise existent depuis plus de vingt ans, signe que l?enjeu n?est pas nouveau pour ces secteurs ? l?ADELC pour les librairies et l?ASTP pour les théâtres privés, répondent à un double objectif : maintenir la diversité en évitant une trop forte concentration d?une part, et permettre à des repreneurs, professionnels du secteur, de reprendre ces entreprises. Dans les activités culturelles qui se situent entre création et commerce (architecture et production audiovisuelle par exemple), la faiblesse ou les? 517 $aTransmission et reprise des entreprises culturelles 606 $aArt 606 $aEconomics (General) 606 $aentreprises culturelles 606 $agénération 606 $aéconomie de la culture et de la communication 606 $acessation d'activité 606 $atransmission 606 $acultural businesses 606 $aeconomics of culture and Communication 606 $ageneration 610 $ageneration 610 $acultural businesses 610 $aeconomics of culture and Communication 615 4$aArt 615 4$aEconomics (General) 615 4$aentreprises culturelles 615 4$agénération 615 4$aéconomie de la culture et de la communication 615 4$acessation d'activité 615 4$atransmission 615 4$acultural businesses 615 4$aeconomics of culture and Communication 615 4$ageneration 700 $aChampetier$b Valérie$01291829 701 $aFischer$b Cédric$01291830 801 0$bFR-FrMaCLE 906 $aBOOK 912 $a9910131363303321 996 $aTransmission et reprise des entreprises culturelles : quels enjeux de politique publique$93021973 997 $aUNINA