LEADER 04192oam 2200649zu 450 001 9910131316203321 005 20210807004911.0 010 $a2-36781-099-0 024 7 $a10.4000/books.pulm.761 035 $a(CKB)3710000000400507 035 $a(SSID)ssj0001541760 035 $a(PQKBManifestationID)11861076 035 $a(PQKBTitleCode)TC0001541760 035 $a(PQKBWorkID)11535625 035 $a(PQKB)11640544 035 $a(WaSeSS)IndRDA00045523 035 $a(FrMaCLE)OB-pulm-761 035 $a(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/54332 035 $a(PPN)185660118 035 $a(oapen)doab54332 035 $a(EXLCZ)993710000000400507 100 $a20160829d2002 uy 101 0 $afre 135 $aur||||||||||| 181 $ctxt 182 $cc 183 $acr 200 04$aLes nationalismes en Espagne : de l'état libéral à l'état des autonomies (1876-1978 210 $cPresses universitaires de la Méditerranée$d2002 210 31$a[Place of publication not identified]$cPresses universitaires de la Méditerranée$d2002 215 $a1 online resource (392 pages) 225 1 $aVoix des Suds 300 $aBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph 311 08$a2-84269-527-5 330 $aL'émergence des nationalismes périphériques à la fin du xixe siècle signe l'échec des libéraux espagnols dans leur tentative, plus rhétorique qu'effective, de créer un État-nation sur le modèle de celui qui à la même époque atteint sa plénitude dans la France républicaine et jacobine. Pour des raisons qui tiennent autant à son indigence économique qu'à son inefficience politique, l'État libéral apparut aux Espagnols comme une réalité toujours lointaine, souvent hostile, et en tout cas dépourvue de légitimité. Après l'échec de ce qui aurait pu être un nationalisme d'orientation démocratique, le nationalisme espagnol allait surtout prendre le visage autoritaire et répressif qu'on lui connut sous les dictatures de Primo de Rivera et de Franco. Ayant supprimé dans les conditions que l'on sait l'autonomie accordée par la République à la Catalogne et au Pays Basque, le régime franquiste allait miser, non sans quelque succès, sur une politique de renationalisation qui visait à faire de l'Espagne un pays économiquement intégré, administrativement centralisé et culturellement homogène. Mais il était évidemment illusoire de vouloir faire table rase de la personnalité culturelle des Basques et des Catalans et d'effacer de leur mémoire les expériences d'autonomie qu'ils avaient connues sous la République. La brutalité de la répression franquiste contribua, au contraire, à renforcer la légitimité des revendications nationalistes, si bien que la question dès nationalismes allait devenir, tout comme en 1931, l'une des priorités de la transition démocratique. Voulant tourner la page de la confrontation entre les nationalismes espagnol et périphériques, les acteurs de la transition, en tout cas ceux qui ont élaboré la Constitution de 1978, en sont ainsi venus à créer cet État des autonomies qui cherche à concilier l'unité de l'Espagne en tant que nation et la reconnaissance du droit à l'autonomie des nationalités et régions qui la composent. 410 0$aCollection "Voix des suds" 606 $aRegions & Countries - Europe$2HILCC 606 $aHistory & Archaeology$2HILCC 606 $aSpain & Portugal$2HILCC 607 $aSpain$xEthnic relations 607 $aSpain$xPolitics and government$y19th century 607 $aSpain$xPolitics and government$y20th century 610 $apolitique 610 $aXXe siècle 610 $anationalisme 610 $aEspagne 610 $aXIXe siècle 615 7$aRegions & Countries - Europe 615 7$aHistory & Archaeology 615 7$aSpain & Portugal 700 $aFrancisco Campuzano Carvajal (dir.)$4auth$01356993 702 $aCampuzano$b Francisco 801 0$bPQKB 906 $aBOOK 912 $a9910131316203321 996 $aLes nationalismes en Espagne : de l'état libéral à l'état des autonomies (1876-1978$93362209 997 $aUNINA