01216cam2 22003011 450 SOBE0001942120120522102122.020111108d1948 |||||ita|0103 baspaES<<1 : >>San Juan de la Cruz, Fray Pedro Malon de Chaide, Fray Hernando de ChaideMadridAtlas1948XXII,684 p.1 ill.26 cmBiblioteca de autores españoles(continuacion)27001SOBE000188342001 *Biblioteca de autores españoles. (continuacion)27001SOBE000194202001 Escritores del siglo 16.Malón de Chaide, PedroSOBA00001562070Zarate, Hernando : deSOBA00001563070Juan : de la Cruz <santo>A600200043366070ITUNISOB20120522RICAUNISOBUNISOB860|Coll|1|K20171SOBE00019421M 102 Monografia moderna SBNW860|Coll|1|K000036-1SI20171acquistoIvittoriniUNISOBUNISOB20111108114752.020120509125753.0vittoriniSan Juan de la Cruz, Fray Pedro Malon de Chaide, Fray Hernando de Chaide1720046UNISOB03372aam 2200445 n 450 991049602610332120250709200401.09782251914060225191406410.4000/books.lesbelleslettres.3019(CKB)4330000000405695(PPN)25469828X(FrMaCLE)OB-lesbelleslettres-3019(PPN)19553378X(FR-PaCSA)88833560(FRCYB88833560)88833560(EXLCZ)99433000000040569520210308j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierCarmen Étude d’une catégorie sonore romaine /Maxime PierreParis Les Belles Lettres20211 online resource (342 p.)9782251328942 2251328947 Comment le terme carmen a-t-il pu renvoyer à une catégorie sonore et évoluer dans les langues romanes vers la notion de « charme » ? Comment expliquer qu’un terme voisin, cantus, soit à l’origine de la notion de « chant » ? Où se situe la rupture entre deux mots pourtant issus d’un même verbe : canere ? Notre étude, qui se veut globale, se propose d’analyser la dimension non seulement acoustique mais également pragmatique du terme carmen. Nous montrons qu’il ne s’agit pas seulement d’une catégorie sonore : il renvoie à un acte porteur de contraintes. Notre premier chapitre aborde les emplois de carmen associé à trois types de sujets – oiseaux, instruments, cantores – et montre l’existence de deux pôles : parallèlement à l’emploi du terme, renvoyant à des chants ou à des musiques, sur le modèle grec du melos, nous analysons un sens indigène qui renvoie à une sémiologie contraignante, celle des signaux des trompes ou des auspices. Cette dimension pragmatique oriente la suite de notre analyse : dans les chapitres deux et trois qui traitent les emplois du terme dans le domaine du droit et de la religion, nous montrons que le mot carmen, désignant d’abord des incantations, est réemployé de façon nouvelle au début de l’Empire pour désigner toutes sortes d’actes où la parole, employée en formule autonome, suscite des effets contraignants : prières, lois ou serments. Dans un quatrième chapitre, nous analysons l’usage du mot carmen dans le domaine de la communication des dieux avec les hommes : le terme renvoie alors au contraintes irrémédiables du fatum. Les usages du mot, à rapprocher du nom de Carmenta, s’appliquent alors à tous types d’énonciations divinatoires comme les oracles ou les prédictions. Enfin, dans les deux derniers chapitres, nous analysons l’introduction de carmen comme terme d’autoréférence poétique : ce nouvel emploi, introduit par Catulle et Lucrèce pour rendre compte sous forme de fictions textuelles du sens musical grec d’odè associé à des vers, va…CarmenCarmen (The Latin word)Latin poetryHistory and criticismCarmen (The Latin word)Latin poetryHistory and criticism.Pierre Maxime1246819FR-FrMaCLEBOOK9910496026103321Carmen2890758UNINA