04031 am 2200625 n 450 9910624373403321202107282-7574-3427-610.4000/books.septentrion.119485(CKB)4100000012897926(FrMaCLE)OB-septentrion-119485(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/95361(PPN)266363105(EXLCZ)99410000001289792620221110j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierHistoire de l’Asie du Sud-Est Révoltes, Réformes, Révolutions /Pierre BrocheuxVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20211 online resource (288 p.)Histoire et civilisations2-85939-167-3 En Asie, la genèse des sociétés moderne s’effectue dans une crise permanente. Les transformations ont été introduites ou accélérées de façon plus ou moins forcée, par les états qui avaient fait des pays asiatiques leurs colonies ou les avaient placé dans leurs sphères d’influence économique, politique et culturelle. La soumission des peuples et de leur gouvernement a-t-elle jamais été réelle ? Elle n’a été toujours obtenue qu’à travers des guerres de conquête ; au-delà de celles-ci, les résistances, qu’elles aient été passives ou actives, n’ont pas cessé. La révolte est le réflexe primordial des peuples atteints dans leur indépendance mais plus encore dans l’intégrité de leur être culturel. C’est donc au plus profond de celui-ci que ces peuples puisent leurs références mobilisatrices, à la fois vigoureuses et vulnérables. Ces mythologies souffrent-elles de leur archaïsme ou davantage de ne pas avoir atteint l’universalité des doctrines et des méthodes impérialistes ? Apparemment les révoltes sont vouées à la défaite et, simultanément ou successivement, les réformes sont des tentatives d’éviter le retour des rébellions en réajustant partiellement les politiques aux revendications des groupes sociaux. Est-ce parce que les réformes n’atteignent jamais l’intégralité et la radicalité qu’elles échouent ou du moins perdent de leur efficacité? Les réformes manquées et les révoltes brisées inspirent les projets et les volontés révolutionnaires. La révolution vise au renversement d’une situation de fait mais est-ce sa seule radicalité qui lui insuffle sa force principale ? N’est-ce pas plutôt que les doctrines dont les révolutions s’inspirent : le nationalisme, le panasiatisme, l’islam, le communisme, ont en commum le dépassement des petites patries, des ethnies, des religions naturelles et des sectes. Grâce à elles, la révolution atteint la dimension universelle qui lui permet d’affronter l’impérialisme à armes égales ou presque. La réappropriation de l’indépendance…HistoryhistoireréférenceAsie du Sud-EsthistoireréférenceAsie du Sud-EstHistoryhistoireréférenceAsie du Sud-EstAarsse Robert251882Alleton Isabelle1346777Boudarel Georges1346778Brocheux Pierre1288852Forest Alain636598Hémery Daniel425314Leclerc Jacques1346779Margolin Jean-Louis783146Moppert François1346780Thê Anh Nguyên1346781Thion Serge1346782Xuan Linh Nguyen1346783Brocheux Pierre1288852FR-FrMaCLEBOOK9910624373403321Histoire de l’Asie du Sud-Est3077931UNINA