02247 am 2200445 n 450 9910624000203321202107282-7574-2601-X10.4000/books.septentrion.123063(CKB)4100000012897485(FrMaCLE)OB-septentrion-123063(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/95350(PPN)266362559(EXLCZ)99410000001289748520221103j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLaideurs de Sartre /Alain BuisineVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20211 online resource (168 p.) Objet2-85939-280-7 Petit, disgracieux, et avec, surtout, cet œil (un œil en plus, un œil en moins... un œil en trop), - Sartre, on le sait, ne se trouvait pas beau. Disons-le, il s’estimait franchement laid. Observation triviale, si elle ne prêtait aussitôt à conséquence. Sartre est philosophe, mais la laideur d’un philosophe devient-elle par cela même un objet philosophique ? Sartre est écrivain, mais la laideur d’un écrivain, la laideur qu’à tort ou à raison il se suppose, la laideur faitelle écrire ? Sartre est critique d’art, mais la laideur, laideur encore, laideur toujours (alors d’autant plus laide), la laideur peut-elle être un point de vue sur le beau ?… Ce sont là seulement quelques-unes des questions que pose ce livre scandaleux. Le plus scandaleux, sans doute, qui ait été écrit sur Sartre. Mais, par cette raison (faut-il vraiment qu’on s’en étonne ?), celui qui entre le plus immédiatement en sympathie avec l’homme, avec l’œuvre. Philippe BONNEFISLiterature (General)philosophielaideurphilosophielaideurLiterature (General)philosophielaideurBuisine Alain175964FR-FrMaCLEBOOK9910624000203321Laideurs de Sartre206730UNINA