04490 am 2200709 n 450 991055870080332120230920121119.02-7574-2634-610.4000/books.septentrion.124593(CKB)4100000012872672(FrMaCLE)OB-septentrion-124593(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86993(PPN)262738821(EXLCZ)99410000001287267220220411j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes transferts linguistiques dans les médias audiovisuels /Yves GambierVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20211 online resource (248 p.)Traductologie2-85939-489-3 L’ouvrage se propose de décrire diverses situations et diverses pratiques pour un genre encore largement inexploité : la traduction audiovisuelle. Pourtant, nous regardons des programmes télévisés, des films, des cassettes vidéo… pour notre distraction, pour notre information, pour notre travail, pour notre formation. Petits et grands écrans font partie de notre quotidien. Nous acceptons tous les développements technologiques qui affectent les multimédias mais nous connaissons mal les enjeux des transferts linguistiques dans l’audiovisuel. Comment s’organise le flux des images ? Quelles sont les directions de ces échanges ? Toutes les langues ontelles le même accès à un marché de plus en plus international ? Tous les pays ont-ils les mêmes ressources pour produire et diffuser les représentations audiovisuelles de leur réalité, de leur imaginaire ? Une vingtaine d’auteurs ont tenté de cerner certains problèmes et certains défis posés par la conversion linguistique quand il faut présenter un feuilleton, un long métrage, un documentaire, un dessin animé pour enfants, un opéra… à un nouveau public étranger. Dans une première partie, deux chapitres essaient de circonscrire le sens et le challenge des traductions audiovisuelles en général. Leur font suite quatre textes présentant des paysages audiovisuels contrastés : au Nigéria, à Taïwan, aux Pays-Bas et en Finlande. Le regard en arrière jeté sur les rapports entre Hollywood et la France dans les années 30 permet de saisir aussi que le choix du mode de traduction n’est jamais définitif, qu’il répond également à des critères non linguistiques. Dans une troisième partie, sont abordés le doublage ainsi que le sous-titrage au cinéma, à la télévision (avec en particulier l’expérience d’une langue minoritaire et les contraintes du travail destiné aux mal entendants). A ces deux formes s’ajoutent, moins connus mais de plus en plus fréquents, le commentaire et l’interprétation en direct. Le sur-titrage quant à lui connaît un…Translating and interpretingMass media and languageLanguage and languagesStudy and teachingAudio-visual aidsmédiasaudiovisueltransfert linguistiqueTranslating and interpreting.Mass media and language.Language and languagesStudy and teachingAudio-visual aids.Antia Bassey1302028Becquemont Daniel689020Bros-Brann Eliane1302029Cornu Jean-François1298787Danan Martine1302030Delabastita Dirk282637De Linde Zoe1302031Dries Josephine1302032D’Ydewalle Gary1302033Gambier Yves622102Gummerus Eivor1302034Kurz Ingrid798182Laine Marsa1302035Lambert José1163632Nakkula Maisa1302036Oksanen Susanna1302037Pavakanun Ubowanna1302038Reid Hélène1243334Sario Marjatta1302039Setton Robin798166Yvane Jean1302040Gambier Yves622102FR-FrMaCLEBOOK9910558700803321Les transferts linguistiques dans les médias audiovisuels3026057UNINA