02497 am 2200565 n 450 9910552974403321202104302-36781-300-02-36781-204-710.4000/books.pulm.16885(CKB)4100000007746541(FrMaCLE)OB-pulm-16885(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86316(PPN)26197744X(EXLCZ)99410000000774654120220325j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLe tigre de William Blake Principes et ingrédients du roman policier noir /Jean RoudautMontpellier Presses universitaires de la Méditerranée20211 online resource (106 p.) Collection des littératures2-36781-203-9 Le roman policier, fût-il écrit par Balzac ou par Dostoïevski, a mauvaise réputation. Il passe pour relâché dans son écriture, et superficiel dans sa réflexion. Cependant, en se référant à Poë, Borges en a fait l’éloge. C’est qu’il tenait les personnages pour des pions sur un échiquier, et le crime était une péripétie sans passé. Puis vint Hammett. Le roman policier (et noir) eut le souci d’évoquer la société inégalitaire et violente. Dès qu’il y eut des victimes à ce jeu, la question se posa : le mal est-il inné ? Alors, de purement intellectuel et décharné qu’il était à l’origine, le roman noir est devenu métaphysique. Il met en scène des éléments de notre mémoire, personnelle, sociale, ancestrale. Il décrit un combat d’égaux symboliques, l’Agneau et le Tigre, comme les faisait déjà s’affronter William Blake.Literature (General)roman policierroman noirDashiell HammettmalWilliam Blakeroman policierroman noirDashiell HammettmalWilliam BlakeLiterature (General)roman policierroman noirDashiell HammettmalWilliam BlakeRoudaut Jean221866FR-FrMaCLEBOOK9910552974403321Le tigre de William Blake3037893UNINA