02340 am 2200457 n 450 9910496039403321202001292-7574-2698-210.4000/books.septentrion.81778(CKB)5590000000006655(FrMaCLE)OB-septentrion-81778(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/87099(PPN)251071014(EXLCZ)99559000000000665520201123j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierDéplier Ponge Entretien avec Gérard Farasse /Jacques Derrida, Gérard FarasseVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20201 online resource (120 p.) Objet2-85939-920-8 PONGE, DERRIDA : voilà les interlocuteurs d’une rencontre exceptionnelle. Jacques Derrida n’a eu de cesse de montrer que la philosophie, comme la littérature, est au travail dans la langue. La littérature vient, depuis toujours, inquiéter la philosophie en l’invitant à quitter sa position de surplomb. Peut-être est-ce l’une des raisons de la fascination de cette dernière pour l’œuvre de Ponge, de Bernard Groethuysen à Henri Maldiney, en passant par Jean-Paul Sartre et Jacques Derrida. Ce dernier lui a consacré un livre, Signéponge, dont cet entretien est en quelque sorte le post-scriptum. Jacques Derrida se retourne sur son commentaire, l’explicite et le prolonge. Des questions aussi diverses que celles de la signature, de l’idiome, de la chose, de la métaphore, de la mise en abyme ou encore de l’éthique y sont posées. En matière d’écriture, Ponge et Derrida nous l’ont appris, il n’y a pas de point final.PhilosophersFranceInterviewsPhilosophesFranceEntretienslittératureentretiendiscussionPhilosophersPhilosophesDerrida Jacques139765Farasse Gérard387436Farasse Gérard387436FR-FrMaCLEBOOK9910496039403321Déplier Ponge2871971UNINA