04657 am 2200817 n 450 991049601560332120200805979-1-03-656145-010.4000/books.pup.14972(CKB)5590000000429675(FrMaCLE)OB-pup-14972(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86505(PPN)252447174(EXLCZ)99559000000042967520201209j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierImpératrices, princesses, aristocrates et saintes souveraines De l’Orient chrétien et musulman au Moyen Âge et au début des Temps modernes /Élisabeth Malamut, Andréas NicolaïdèsAix-en-Provence Presses universitaires de Provence20201 online resource (292 p.) Le temps de l’histoire2-85399-901-7 Cet ouvrage est consacré aux souveraines et aux aristocrates de l’Orient méditerranéen à l’époque médiévale. Il s’inscrit dans les recherches actuelles sur l’étude des femmes comme « genre ». La symbolique chrétienne se fonde sur l’iconographie des églises où sont représentées comme modèles les saintes souveraines et martyres des premiers siècles alors que l’historiographie témoigne d’impératrices confrontées au pouvoir, usant de leur beauté et d’artifices, telle Théophano au Xe siècle soupçonnée du meurtre de ses deux premiers époux. On pénètre jusqu’au fond du gynécée là où s’ourdissent les complots, où rivalisent la reine mère et sa belle-fille, là aussi où s’éduquent les enfants impériaux pour lesquels leur mère est appelée à la régence lors de la mort de son époux. Certaines impératrices ont une renommée supérieure à d’autres, telle Zoé représentée sur les mosaïques de Sainte-Sophie à laquelle le peuple de Constantinople voue une réelle ferveur en lui pardonnant ses frasques sexuelles et ses divertissements de magicienne. D’autres impératrices viennent de l’étranger, de Savoie ou de Serbie et elles savent s’imposer dans l’échiquier géopolitique troublé des XIVe et XVe siècles, parfois jusqu’à causer des guerres civiles, toujours en protectrices et conseillères de leurs fils. Léguer l’impérium, voilà qui est étranger aux épouses et filles de souverains ottomans qui n’hésitent pas à contracter des mariages avec des princesses byzantines. Toute l’aristocratie féminine gravite autour de la cour, les princesses rivalisent de piété et de générosité, qu’elles soient byzantines, arméniennes ou timourides, mais aussi de faste. Fortunées, mécènes dans le domaine artistique et religieux, fondatrices, commanditaires de reliquaires et de manuscrits enluminés…la liste de ces dames de la haute société couvre l’Europe, l’Asie occidentale et centrale…Historyaristocratiearistocratie féminineOrient méditerranéenMoyen Âgeépoque médiévaleimpératriceprincessesouveraineétude de genresfemmeChristian literatureChristianityHistoryHistoryaristocratiearistocratie féminineOrient méditerranéenMoyen Âgeépoque médiévaleimpératriceprincessesouveraineétude de genresfemmeBerry Gautier1297135Bondoux René-Claude1297136Dumas Juliette1297137Durand Jannic459004Ganchou Thierry1297138Grélois Jean-Pierre1284351Herrin Judith157339Limousin Éric1282100Malamut Élisabeth167095Marjanović-Dušanić Smilja1297139Nicolaïdès Andréas1297140Perdiki Ourania1297141Porter Yves720263Rapti Ioanna1297142Talbot Alice-Mary1297143Malamut Élisabeth167095Nicolaïdès Andréas1297140FR-FrMaCLEBOOK9910496015603321Impératrices, princesses, aristocrates et saintes souveraines3024422UNINA